« Le but de notre voyage dans cette région est d’évaluer les conditions générales et donc aussi la situation politique en vue du déploiement de l’opération Eufor », a déclaré M. De Gucht à la presse, à l’issue de sa rencontre avec le chef de l’Etat centrafricain.
Il a également indiqué avoir eu avec son interlocuteur « un entretien très intéressant sur la situation dans le pays, les problèmes auxquels ce pays est confronté en termes de services de sécurité » et a promis la contribution de son pays à la réforme du système de sécurité en cours de préparation expliquant qu’ « il est important que l’Etat puisse se projeter sur l’intégralité du territoire et créer une situation de sécurité pour les opérateurs économiques et pour aussi la population ».
« J’ai aussi expliqué quelques unes de mes idées sur le problème qui est quand même assez vaste dans l’Afrique centrale, le problème de la gestion, de la bonne gouvernance, de l’impunité, des services de sécurité, le problème du contrôle du territoire, la scolarité, la santé », a-t-il poursuivi.
« Nous soutenons déjà un projet pour les personnes déplacées à l’intérieur du pays et ce matin encore j’ai promis faire un effort pour les manuels dans les écoles ensemble avec l’Unicef et une organisation non gouvernementale italienne et nous sommes ouverts aussi à d’autres pistes de coopération », a-t-il ajouté, invitant la République Centrafricaine à renforcer sa coopération avec son pays.
La visite à Bangui du ministre belge des Affaires étrangères intervient au lendemain de l’annonce par son gouvernement du renforcement de sa participation à l’Eufor par l’envoi de 22 soldats de ses forces spéciales.
Etat membre de l’Union Européenne, le Royaume de Belgique s’est engagé à fournir 120 hommes sur les 3700 de la force militaire européenne destinée à sécuriser l’Est du Tchad et le Nord-est de la République Centrafricaine et dont le mandat d’une durée d’un an devrait prendre effet à la mi-mars prochain.
Il a également indiqué avoir eu avec son interlocuteur « un entretien très intéressant sur la situation dans le pays, les problèmes auxquels ce pays est confronté en termes de services de sécurité » et a promis la contribution de son pays à la réforme du système de sécurité en cours de préparation expliquant qu’ « il est important que l’Etat puisse se projeter sur l’intégralité du territoire et créer une situation de sécurité pour les opérateurs économiques et pour aussi la population ».
« J’ai aussi expliqué quelques unes de mes idées sur le problème qui est quand même assez vaste dans l’Afrique centrale, le problème de la gestion, de la bonne gouvernance, de l’impunité, des services de sécurité, le problème du contrôle du territoire, la scolarité, la santé », a-t-il poursuivi.
« Nous soutenons déjà un projet pour les personnes déplacées à l’intérieur du pays et ce matin encore j’ai promis faire un effort pour les manuels dans les écoles ensemble avec l’Unicef et une organisation non gouvernementale italienne et nous sommes ouverts aussi à d’autres pistes de coopération », a-t-il ajouté, invitant la République Centrafricaine à renforcer sa coopération avec son pays.
La visite à Bangui du ministre belge des Affaires étrangères intervient au lendemain de l’annonce par son gouvernement du renforcement de sa participation à l’Eufor par l’envoi de 22 soldats de ses forces spéciales.
Etat membre de l’Union Européenne, le Royaume de Belgique s’est engagé à fournir 120 hommes sur les 3700 de la force militaire européenne destinée à sécuriser l’Est du Tchad et le Nord-est de la République Centrafricaine et dont le mandat d’une durée d’un an devrait prendre effet à la mi-mars prochain.