M. Maliko a indiqué que cette revue a pour objectif de « faire le point sur les étapes franchies depuis la table ronde de Bruxelles et de convenir des actions à mener pour consolider les acquis avant la revue du mois de novembre 2008.
« La table rondes est un dispositif lourd à conduire », a-t-il déclaré, précisant que c’est dans cette optique que le dispositif institutionnel de la mise en œuvre du Document de stratégie de lutte contre la pauvreté (Dsrp) a été mis en place et présidé par le Premier ministre.
Il a également déclaré que la quasi-totalité des comités techniques sectoriels sont déjà mis en place pour préparer les tables rondes et les consultations sectorielles.
Le coordonnateur du système des Nations Unies, M. Toby Lanzer, et le chef de la délégation de la Commission européenne, M. Jean-Claude Esmieu, qui prenaient part à cette réunion, ont réaffirmé leur engagement à soutenir la République Centrafricaine dans l’exécution du Dsrp.
Pour M. Lanzer, il y a eu « des pas concrets » dans l’exécution des recommandations de la table ronde de Bruxelles, faisant allusion au séminaire national sur la réforme du système de sécurité tenu en avril dernier à Bangui.
Tout en confirmant le soutien sans conteste de l’Union européenne, M. Jean-Claude Esmieu a souligné que la table ronde mérite un suivi efficace car, souvent, des promesses sont faites « mais c’est quand les projets commencent à mûrir et à fleurir de manière concrète que les bailleurs de fonds vont réagir ».
Il convient de signaler que toutes les agences des Nations Unies ainsi que les représentants de la Banque mondiale, de la France, du Maroc et de l’Egypte étaient présents à cette réunion qui intervient 7 mois après la table ronde des bailleurs de fonds de la République Centrafricaine, organisée à Bruxelles le 26 octobre 2007.
« La table rondes est un dispositif lourd à conduire », a-t-il déclaré, précisant que c’est dans cette optique que le dispositif institutionnel de la mise en œuvre du Document de stratégie de lutte contre la pauvreté (Dsrp) a été mis en place et présidé par le Premier ministre.
Il a également déclaré que la quasi-totalité des comités techniques sectoriels sont déjà mis en place pour préparer les tables rondes et les consultations sectorielles.
Le coordonnateur du système des Nations Unies, M. Toby Lanzer, et le chef de la délégation de la Commission européenne, M. Jean-Claude Esmieu, qui prenaient part à cette réunion, ont réaffirmé leur engagement à soutenir la République Centrafricaine dans l’exécution du Dsrp.
Pour M. Lanzer, il y a eu « des pas concrets » dans l’exécution des recommandations de la table ronde de Bruxelles, faisant allusion au séminaire national sur la réforme du système de sécurité tenu en avril dernier à Bangui.
Tout en confirmant le soutien sans conteste de l’Union européenne, M. Jean-Claude Esmieu a souligné que la table ronde mérite un suivi efficace car, souvent, des promesses sont faites « mais c’est quand les projets commencent à mûrir et à fleurir de manière concrète que les bailleurs de fonds vont réagir ».
Il convient de signaler que toutes les agences des Nations Unies ainsi que les représentants de la Banque mondiale, de la France, du Maroc et de l’Egypte étaient présents à cette réunion qui intervient 7 mois après la table ronde des bailleurs de fonds de la République Centrafricaine, organisée à Bruxelles le 26 octobre 2007.