Présidé par M. Joseph Bida Koyagbélé, Conseiller spécial auprès du Premier ministre chargé de la bonne gouvernance, ce comité se compose de 14 personnalités issues de l’administration, du secteur privé et de la société civile.
Parmi elles, il convient de signaler la présence des syndicalistes Etienne Paulin Songoli de la Confédération syndicale des travailleurs centrafricains (CSTC) et Innocent Yakoda de l'Union syndicale des travailleurs de Centrafrique et de M. Patrick Dejean, président du Groupement interprofessionnel centrafricain (Gica, patronat).
Censé "élaborer et mettre en œuvre la stratégie nationale de lutte contre la corruption et assurer sa diffusion auprès des acteurs publics et privés", selon les termes de l'Arrêté du Premier ministre publié vendredi, le comité doit adresser au gouvernement, dans un délai de 60 jours "une liste des actions prioritaires qu’il entend engager dans le domaine de la lutte contre la corruption".
Bien que régulièrement pointée par les experts des institutions financières comme l'une des causes de la faiblesse des recettes du trésor public, la corruption n'a pas fait jusqu'ici l'objet d'une lutte systématique de la part des pouvoirs publics.
Parmi elles, il convient de signaler la présence des syndicalistes Etienne Paulin Songoli de la Confédération syndicale des travailleurs centrafricains (CSTC) et Innocent Yakoda de l'Union syndicale des travailleurs de Centrafrique et de M. Patrick Dejean, président du Groupement interprofessionnel centrafricain (Gica, patronat).
Censé "élaborer et mettre en œuvre la stratégie nationale de lutte contre la corruption et assurer sa diffusion auprès des acteurs publics et privés", selon les termes de l'Arrêté du Premier ministre publié vendredi, le comité doit adresser au gouvernement, dans un délai de 60 jours "une liste des actions prioritaires qu’il entend engager dans le domaine de la lutte contre la corruption".
Bien que régulièrement pointée par les experts des institutions financières comme l'une des causes de la faiblesse des recettes du trésor public, la corruption n'a pas fait jusqu'ici l'objet d'une lutte systématique de la part des pouvoirs publics.