"Nous avons des difficultés à convaincre nos agences de ce fonds de développement de l'enseignement supérieur mais nous devons le faire", a déclaré Jean Pierre Ezzin, représentant de l'Union Africaine à la conférence de Dakar.
"Il faudra cependant qu'en demandant le financement de ce fonds nous fassions en sorte qu'il règne une certaine stabilité dans nos universités qui ont malheureusement aussi le vocable année blanche dans leur dictionnaire", a indiqué M. Ezzin, cité par l'agence APA, en marge des travaux.
"En plus de ce fonds, l'Union africaine va créer des écoles doctorales de 100 étudiants dans chacune des six régions du continent", a-t-il dit, précisant que chacune de ces écoles doctorales comptera au maximum 30% des étudiants du pays hôte, tandis que les 70% viendront d'autres pays.
"L'idée est de permettre le maximum d'intégration entre les intellectuels africains", a-t-il expliqué.
Pendant quatre jours, les 241 participants venus de 27 pays ont passé en revue les chances mais aussi les nombreux handicaps de l'enseignement supérieur en Afrique qui enregistre 5 à 7% de taux d'accès à l'enseignement supérieur contre plus de 50% dans les pays émergents.
La conférence de Dakar, qui a porté sur les "Nouvelles dynamiques de l'enseignement supérieur et de la recherche : Stratégies pour le changement et le développement", constitue une phase préparatoire à la Conférence mondiale sur l'enseignement supérieur qui se tiendra au siège de l'UNESCO à Paris en France début juillet 2009.
"Il faudra cependant qu'en demandant le financement de ce fonds nous fassions en sorte qu'il règne une certaine stabilité dans nos universités qui ont malheureusement aussi le vocable année blanche dans leur dictionnaire", a indiqué M. Ezzin, cité par l'agence APA, en marge des travaux.
"En plus de ce fonds, l'Union africaine va créer des écoles doctorales de 100 étudiants dans chacune des six régions du continent", a-t-il dit, précisant que chacune de ces écoles doctorales comptera au maximum 30% des étudiants du pays hôte, tandis que les 70% viendront d'autres pays.
"L'idée est de permettre le maximum d'intégration entre les intellectuels africains", a-t-il expliqué.
Pendant quatre jours, les 241 participants venus de 27 pays ont passé en revue les chances mais aussi les nombreux handicaps de l'enseignement supérieur en Afrique qui enregistre 5 à 7% de taux d'accès à l'enseignement supérieur contre plus de 50% dans les pays émergents.
La conférence de Dakar, qui a porté sur les "Nouvelles dynamiques de l'enseignement supérieur et de la recherche : Stratégies pour le changement et le développement", constitue une phase préparatoire à la Conférence mondiale sur l'enseignement supérieur qui se tiendra au siège de l'UNESCO à Paris en France début juillet 2009.