
« Le centre d’assistance aux victimes de violences sexuelles comprendra un pilier médical, un pilier psychologique, un pilier socioé-conomique et un pilier juridique », a indiqué la directrice de l’IFJD, Dr. Magalie Cesse.
Cependant, la grosse difficulté des piliers juridique et judiciaire, a poursuivi Mme Cesse, est qu’elle dépend de tout le fonctionnement de la chaine pénale. C’est pour cela qu’il serait souhaitable de créer à côté, une école en vue de former de bons avocats au service des victimes.
Pour Mme Cesse, les futures professionnels qui sont aujourd’hui les étudiants, les enseignants- chercheurs de l’Université de Bangui, qui ont un travail important à faire, notamment la formation et la recherche, avocat-greffier ou magistrats, doivent disposer d’une formation qui leur permettra de bien recevoir les victimes de violences sexuelles et aussi les auteurs.
Pour la Psychologue clinicienne, Mme Fali Flore-Florence, cette école permettra de renforcer les capacités des acteurs de droit, avant d’exhorter les victimes de violences sexuelles à se présenter à la justice car, la justice transitionnelle va bientôt s’occuper de leurs préoccupations.
Le professeur Jean Pierre Massias a axé son intervention sur l’importance de la justice transitionnelle qui est une justice spéciale, et une justice d’adaptation. Car selon lui, les crimes de violences sexuelles pendant les conflits sont des crimes de masse et complexes. Pour lui, cette justice est une justice de la guerre vers la paix, car elle incarne la commission vérité et réconciliation.
L’avocat François Roux a édifié les participants sur le rôle que doit jouer un avocat aux cotés des victimes pendant le procès.
Il faut noter que cette conférence débat a mobilisé plus de 300 professionnels de droits, enseignants-chercheurs, étudiants et la société civile.
Cependant, la grosse difficulté des piliers juridique et judiciaire, a poursuivi Mme Cesse, est qu’elle dépend de tout le fonctionnement de la chaine pénale. C’est pour cela qu’il serait souhaitable de créer à côté, une école en vue de former de bons avocats au service des victimes.
Pour Mme Cesse, les futures professionnels qui sont aujourd’hui les étudiants, les enseignants- chercheurs de l’Université de Bangui, qui ont un travail important à faire, notamment la formation et la recherche, avocat-greffier ou magistrats, doivent disposer d’une formation qui leur permettra de bien recevoir les victimes de violences sexuelles et aussi les auteurs.
Pour la Psychologue clinicienne, Mme Fali Flore-Florence, cette école permettra de renforcer les capacités des acteurs de droit, avant d’exhorter les victimes de violences sexuelles à se présenter à la justice car, la justice transitionnelle va bientôt s’occuper de leurs préoccupations.
Le professeur Jean Pierre Massias a axé son intervention sur l’importance de la justice transitionnelle qui est une justice spéciale, et une justice d’adaptation. Car selon lui, les crimes de violences sexuelles pendant les conflits sont des crimes de masse et complexes. Pour lui, cette justice est une justice de la guerre vers la paix, car elle incarne la commission vérité et réconciliation.
L’avocat François Roux a édifié les participants sur le rôle que doit jouer un avocat aux cotés des victimes pendant le procès.
Il faut noter que cette conférence débat a mobilisé plus de 300 professionnels de droits, enseignants-chercheurs, étudiants et la société civile.