Organisé par le ministère de l’Environnement et de l’Ecologie, cet atelier vise non seulement à informer et à sensibiliser la population sur les enjeux du Changement climatique liés à la dégradation des forêts, mais également à recueillir les besoins réels de la population des forêts afin de les inclure dans le document de stratégie de la préparation à la REDD+ en République Centrafricaine.
« Il s’agit d’amener la population de la Sangha Mbaéré et les peuples autochtones (pygmées) à s’impliquer pleinement dans le processus de Réductions des émissions liées à la déforestation et à la dégradation des forêts à travers la mise en place d’un système national de suivi des émissions de Gaz à Effets de Serre (GES) liées à la déforestations et à la dégradation », a expliqué le chargé de Mission en matière de l’Ecologie, Bob Konzi Sarambo.
Il a expliqué cette rencontre devrait permettre d’élaborer un plan de développement lié à chaque secteur entre autres le secteur de l’agriculture, de l’élevage et des mines.
Selon les participants, les sociétés forestières sont à la base de la dégradation des forêts. C’est pourquoi l’accent devrait être mis sur la surveillance communautaire et la formation des jeunes afin de les impliquer dans le suivi de l’exploitation forestière.
Pour le sous Préfet de Nola, M. Rémy Zoungalani, le changement climatique est un défi mondial et nul ne peut douter de ses effets néfastes. Par conséquent, il a exhorté la population de Nola à traduire dans les faits, les conclusions et résolutions de cet atelier.
Pendant deux jours, les participants ont suivi des communications sur des modules tels que les causes et les effets néfastes du changement climatiques ; la réduction des émissions liées à la déforestation et à la dégradation des forêts ; l’organisation nationale pour la conduite du processus de préparation de la REDD+.
Le point focal Changement climatique, M. Igor Tola Kogadou, a relevé que les facteurs directs de la dégradation des forêts sont entre autres l’élevage extensif non durable ; l’exploitation anarchique du bois et des produits forestiers.
L’intervenant Mba Ngaqueu, représentant des ONG a insisté sur la prise en compte des préoccupations des peuples autochtones dans l’élaboration du document de REDD+ en République Centrafricaine.
Il convient de noter que cet atelier a regroupé une soixantaine de participants représentant les différentes couches sociales de la ville de Nola.
« Il s’agit d’amener la population de la Sangha Mbaéré et les peuples autochtones (pygmées) à s’impliquer pleinement dans le processus de Réductions des émissions liées à la déforestation et à la dégradation des forêts à travers la mise en place d’un système national de suivi des émissions de Gaz à Effets de Serre (GES) liées à la déforestations et à la dégradation », a expliqué le chargé de Mission en matière de l’Ecologie, Bob Konzi Sarambo.
Il a expliqué cette rencontre devrait permettre d’élaborer un plan de développement lié à chaque secteur entre autres le secteur de l’agriculture, de l’élevage et des mines.
Selon les participants, les sociétés forestières sont à la base de la dégradation des forêts. C’est pourquoi l’accent devrait être mis sur la surveillance communautaire et la formation des jeunes afin de les impliquer dans le suivi de l’exploitation forestière.
Pour le sous Préfet de Nola, M. Rémy Zoungalani, le changement climatique est un défi mondial et nul ne peut douter de ses effets néfastes. Par conséquent, il a exhorté la population de Nola à traduire dans les faits, les conclusions et résolutions de cet atelier.
Pendant deux jours, les participants ont suivi des communications sur des modules tels que les causes et les effets néfastes du changement climatiques ; la réduction des émissions liées à la déforestation et à la dégradation des forêts ; l’organisation nationale pour la conduite du processus de préparation de la REDD+.
Le point focal Changement climatique, M. Igor Tola Kogadou, a relevé que les facteurs directs de la dégradation des forêts sont entre autres l’élevage extensif non durable ; l’exploitation anarchique du bois et des produits forestiers.
L’intervenant Mba Ngaqueu, représentant des ONG a insisté sur la prise en compte des préoccupations des peuples autochtones dans l’élaboration du document de REDD+ en République Centrafricaine.
Il convient de noter que cet atelier a regroupé une soixantaine de participants représentant les différentes couches sociales de la ville de Nola.