Les enfants rapatriés bénéficiant d'actes de naissance
Cette cérémonie organisée par le HCR qui a mobilisé les autorités politico-administratives et les notables de Mbaïki s’inscrit dans le cadre de prévention de l’apatridie en République Centrafricaine.
Le directeur général David Sogbo-Ango, en soutenant le gouvernement dans sa dynamique et ses engagements pris dans le cadre de la campagne « J’appartiens », a réaffirmé la volonté dudit gouvernement de ne plus voir ses enfants considérés comme apatridie.
Il a par ailleurs encouragé les mairies à sensibiliser leurs concitoyens dans la nécessité de se faire délivrer les actes de naissance afin de prouver leur nationalité.
« La question de la lutte contre le phénomène de l’apatridie est une préoccupation majeure au gouvernement en affichant ainsi sa ferme volonté de contribuer à l’éradication à terme de l’apatridie, en promouvant et en favorisant le droit à la nationalité », a-t-admis.
Le représentant adjoint du HCR, Pierre Atchom a indiqué que l’acte de naissance est l'un des documents le plus important dans la vie d’une personne. C’est le document qui identifie l’enfant par son nom légal et qui établit également sa filiation.
« Grâce à l’acte de naissance, les enfants peuvent être inscrits à l’école et envisager un avenir meilleur », a fait savoir Pierre Atchom.
Le responsable du HCR a renouvelé qu’en vertu du mandat de son institution qui est de lutter contre l’apatridie, a envisagé de délivrer des actes de naissance à tous les rapatriés qui ne détiennent pas de documents de naissance afin de faciliter leur réintégration.
Selon lui, le HCR préconise d’étendre cette activité dans les préfectures de l’Ombella M’Poko, de la Nana-Mambéré et la Mambéré-Kadei où les activités de rapatriement volontaire se font également.
Pierre Atchom a rappelé que le HCR a initié en 2019 un programme de documentation des enfants rapatriés et installés dans les communes de Mbaïki. Cette activité a permis à l’établissement par le tribunal de Grande instance de de Mbaïki 861 jugements supplétifs d’actes de naissance dont 64 ont pu être transcrits et remis aux bénéficiaires, tout en rassurant que tous les 861 enfants identifiés recevront prochainement leur acte de naissance.
Il convient de signaler qu’après la signature de l’accord politique pour la paix et la réconciliation en février 2019, le retour progressif de la paix a favorisé le rapatriement volontaire de quelques 16.484 Centrafricains depuis 2017, dont plus de 8.536 dans la Lobaye.
Le directeur général David Sogbo-Ango, en soutenant le gouvernement dans sa dynamique et ses engagements pris dans le cadre de la campagne « J’appartiens », a réaffirmé la volonté dudit gouvernement de ne plus voir ses enfants considérés comme apatridie.
Il a par ailleurs encouragé les mairies à sensibiliser leurs concitoyens dans la nécessité de se faire délivrer les actes de naissance afin de prouver leur nationalité.
« La question de la lutte contre le phénomène de l’apatridie est une préoccupation majeure au gouvernement en affichant ainsi sa ferme volonté de contribuer à l’éradication à terme de l’apatridie, en promouvant et en favorisant le droit à la nationalité », a-t-admis.
Le représentant adjoint du HCR, Pierre Atchom a indiqué que l’acte de naissance est l'un des documents le plus important dans la vie d’une personne. C’est le document qui identifie l’enfant par son nom légal et qui établit également sa filiation.
« Grâce à l’acte de naissance, les enfants peuvent être inscrits à l’école et envisager un avenir meilleur », a fait savoir Pierre Atchom.
Le responsable du HCR a renouvelé qu’en vertu du mandat de son institution qui est de lutter contre l’apatridie, a envisagé de délivrer des actes de naissance à tous les rapatriés qui ne détiennent pas de documents de naissance afin de faciliter leur réintégration.
Selon lui, le HCR préconise d’étendre cette activité dans les préfectures de l’Ombella M’Poko, de la Nana-Mambéré et la Mambéré-Kadei où les activités de rapatriement volontaire se font également.
Pierre Atchom a rappelé que le HCR a initié en 2019 un programme de documentation des enfants rapatriés et installés dans les communes de Mbaïki. Cette activité a permis à l’établissement par le tribunal de Grande instance de de Mbaïki 861 jugements supplétifs d’actes de naissance dont 64 ont pu être transcrits et remis aux bénéficiaires, tout en rassurant que tous les 861 enfants identifiés recevront prochainement leur acte de naissance.
Il convient de signaler qu’après la signature de l’accord politique pour la paix et la réconciliation en février 2019, le retour progressif de la paix a favorisé le rapatriement volontaire de quelques 16.484 Centrafricains depuis 2017, dont plus de 8.536 dans la Lobaye.