Organisé par le Bureau de l’Organisation des Nations Unies en Centrafrique (BONUCA) en partenariat avec une ONG internationale « Swisspeace », cet atelier de 3 jours, dont le thème est « Négociations et Processus de Paix », devrait permettre aux membres du comité préparatoire du Dialogue Politique Inclusif d’acquérir les compétences nécessaires pour participer efficacement aux assises en cours de préparation.
M. Gonda a remercié la fondation suisse swisspeace et le BONUCA, qui donnent ainsi « des armes appropriées pour mener les négociations afin de convaincre tous les Centrafricains à s’asseoir autour de la table de négociation pour définitivement ramener une paix durable en République Centrafricaine ».
C’est dans ce souci, a-t-il expliqué que « le gouvernement centrafricain a donné une place exceptionnelle au dialogue politique inclusif », en l’attachant au ministère de la Communication dans le gouvernement formé le 28 janvier dernier.
M. Fall a pour sa part souligné que cet atelier est un creuset d’échanges d’idées et d’expériences sur les thèmes retenus en rapport avec les objectifs assignés aux travaux du dialogue politique inclusif.
Il a ajouté « qu’il est important d’attirer l’attention sur l’utilité d’un tel exercice qui contribue sans aucun doute à renforcer la capacité en matière de négociation en vue d’une bonne conduite », dans les initiatives « pour assurer une large participation des acteurs clés au dialogue politique inclusif, ».
Notons que les travaux du séminaire sont animés par des experts de la Fondation Suisse pour la Paix (Swisspeace) et du département des Affaires politiques de l’Organisation des Nations Unies (Onu).
Installé le 21 décembre 2007 par le président François Bozizé, le comité préparatoire du Dialogue Politique Inclusif dispose de 90 jours jusqu’à la fin mars pour préparer le budget des assises, en déterminer le lieu, la date et le profil des participants.
M. Gonda a remercié la fondation suisse swisspeace et le BONUCA, qui donnent ainsi « des armes appropriées pour mener les négociations afin de convaincre tous les Centrafricains à s’asseoir autour de la table de négociation pour définitivement ramener une paix durable en République Centrafricaine ».
C’est dans ce souci, a-t-il expliqué que « le gouvernement centrafricain a donné une place exceptionnelle au dialogue politique inclusif », en l’attachant au ministère de la Communication dans le gouvernement formé le 28 janvier dernier.
M. Fall a pour sa part souligné que cet atelier est un creuset d’échanges d’idées et d’expériences sur les thèmes retenus en rapport avec les objectifs assignés aux travaux du dialogue politique inclusif.
Il a ajouté « qu’il est important d’attirer l’attention sur l’utilité d’un tel exercice qui contribue sans aucun doute à renforcer la capacité en matière de négociation en vue d’une bonne conduite », dans les initiatives « pour assurer une large participation des acteurs clés au dialogue politique inclusif, ».
Notons que les travaux du séminaire sont animés par des experts de la Fondation Suisse pour la Paix (Swisspeace) et du département des Affaires politiques de l’Organisation des Nations Unies (Onu).
Installé le 21 décembre 2007 par le président François Bozizé, le comité préparatoire du Dialogue Politique Inclusif dispose de 90 jours jusqu’à la fin mars pour préparer le budget des assises, en déterminer le lieu, la date et le profil des participants.