M. Abdalah Tidjani Souleymane devant sa petite unité de production d'huile d'arachide
« En arrivant sur le camp de Pladama Ouaka, j’étais cultivateur, mais je faisais également du commerce. Avec l’argent obtenu, je me suis rendu au Soudan pour acheter des machines afin de produire l’huile et la farine de céréales », explique-t-il.
S’agissant de la matière première, Tidjani s’approvisionnait en arachide, sésame, maïs, mil, sorgho, auprès des paysans, etc. Il revend ses produits semi-finis sur place au marché de Bambari.
Sa petite unité de production a offert de l’emploi tant à ses compatriotes réfugiés qu’aux villageois vivant proche du camp de Pladama-Ouaka.
En attendant, Abdalah Tidjani Souleymane, qui fait figure de grand opérateur économique, entend liquider sa petite unité de production avant de rentrer dans son pays d’origine. Or, trouver un preneur est une autre paire de manches.
S’agissant de la matière première, Tidjani s’approvisionnait en arachide, sésame, maïs, mil, sorgho, auprès des paysans, etc. Il revend ses produits semi-finis sur place au marché de Bambari.
Sa petite unité de production a offert de l’emploi tant à ses compatriotes réfugiés qu’aux villageois vivant proche du camp de Pladama-Ouaka.
En attendant, Abdalah Tidjani Souleymane, qui fait figure de grand opérateur économique, entend liquider sa petite unité de production avant de rentrer dans son pays d’origine. Or, trouver un preneur est une autre paire de manches.