Cette déclaration a été faite lundi 3 mai 2010, à l’occasion de la célébration de la Journée internationale de presse. Un dîner a été offert aux journalistes centrafricains par le Président de la République, François Bozizé, au palais de la Renaissance.
« Vous êtes ainsi donc les agents de développement, les agents de lutte contre la pauvreté, c’est dire que votre participation à la création de la richesse nationale est également essentiel que celle du paysan, de l’éleveur, de l’industriel et de l’homme d’affaires », a ajouté le Président François Bozizé.
Pour le chef de l’Etat, la prudence et le retenu gage de l’objectivité sont alors, de mise. Le sensationnel est assurément payant, mais dangereux pour la République Centrafricaine, où la rumeur tient parfois lieu de vérité.
Le Président François Bozizé, a affirmé : « qu’en réalité l’Etat est pour vous un partenaire fiable, disposé à vous accompagner sans ruiner votre indépendance, à vous aider à jouer d’aiguillon de la démocratie du développement et de la paix».
En cette année capitale, a indiqué le Président François Bozizé, au cours de laquelle se dérouleront les élections générales, vous avez cette patriotique et immédiate mission d’accompagner le citoyen, pour que celui-ci assume son premier devoir qui est d’aller aux urnes et choisir en son âme et conscience son Chef de l’Etat et son député et cela dans la sérénité.
Il a réitéré son appel de responsabilité dans ce sens, mais également dans l’exercice au quotidien par le respect scrupuleux des règles déontologiques pour garantir sa crédibilité et sa pérennité.
Le Président de l’Union des Journalistes de Centrafrique, Maka Gbokossoto, a remis un mémorandum au Président de la République dans lequel, ils ont demandé au Président François Bozizé de veiller à une bonne circulation de l’information, tout en évitant la rétention et l’obstruction de l’information qui incitent parfois les professionnels des médias à des supputations et à la désinformation préjudiciables à un bon exercice de la profession.
Ils ont également demandé de veiller à l’application des dispositions des articles 76 et 77 de l’Ordonnance n°05.002 du 22 février 2005 relative à la liberté de la Communication en République Centrafricaine, concernant la subvention de l’Etat aux organes de la presse privée et indépendante qui participent au droit du public à l’information.
« Vous êtes ainsi donc les agents de développement, les agents de lutte contre la pauvreté, c’est dire que votre participation à la création de la richesse nationale est également essentiel que celle du paysan, de l’éleveur, de l’industriel et de l’homme d’affaires », a ajouté le Président François Bozizé.
Pour le chef de l’Etat, la prudence et le retenu gage de l’objectivité sont alors, de mise. Le sensationnel est assurément payant, mais dangereux pour la République Centrafricaine, où la rumeur tient parfois lieu de vérité.
Le Président François Bozizé, a affirmé : « qu’en réalité l’Etat est pour vous un partenaire fiable, disposé à vous accompagner sans ruiner votre indépendance, à vous aider à jouer d’aiguillon de la démocratie du développement et de la paix».
En cette année capitale, a indiqué le Président François Bozizé, au cours de laquelle se dérouleront les élections générales, vous avez cette patriotique et immédiate mission d’accompagner le citoyen, pour que celui-ci assume son premier devoir qui est d’aller aux urnes et choisir en son âme et conscience son Chef de l’Etat et son député et cela dans la sérénité.
Il a réitéré son appel de responsabilité dans ce sens, mais également dans l’exercice au quotidien par le respect scrupuleux des règles déontologiques pour garantir sa crédibilité et sa pérennité.
Le Président de l’Union des Journalistes de Centrafrique, Maka Gbokossoto, a remis un mémorandum au Président de la République dans lequel, ils ont demandé au Président François Bozizé de veiller à une bonne circulation de l’information, tout en évitant la rétention et l’obstruction de l’information qui incitent parfois les professionnels des médias à des supputations et à la désinformation préjudiciables à un bon exercice de la profession.
Ils ont également demandé de veiller à l’application des dispositions des articles 76 et 77 de l’Ordonnance n°05.002 du 22 février 2005 relative à la liberté de la Communication en République Centrafricaine, concernant la subvention de l’Etat aux organes de la presse privée et indépendante qui participent au droit du public à l’information.