Centrafrique/Société :
Les 100 participants à ce forum, prévu pour prendre fin mercredi 11 octobre, sont les représentants des différents départements ministériels et de la société civile ainsi que les préfets les présidents des délégations spéciales auprès des communes (maires centraux).
Selon M. Maliko la politique nationale qui sera mise en place après ce forum constitue un « nouveau levier capable d’induire le développement et la survie du jeune enfant centrafricain ». Car, a-t-il poursuivi, les enfants de 0 à 8 ans vivant en Centrafrique sont confrontés à de multiples problèmes.
Il a notamment cité le fort taux de mortalité maternelle, qui met les enfants en difficulté de croissance, le fort taux de mortalité infanto-juvénile, le faible taux d’accès à l’eau potable et à l’assainissement, le faible taux de scolarisation des enfants, l’insuffisance de prise en charge des orphelins du sida, etc.
Le représentant de l’Unicef en Centrafrique, le Docteur Joseph Foumbi a pour sa part signifié dans son exposé sur l’approche Dije que le programme du développement du jeune enfant contribue à la réduction de la pauvreté, la consolidation de la paix et de la bonne gouvernance en République Centrafricaine.
Selon lui, les enfants qui constituent l’avenir du pays doivent bénéficier de tous les atouts qui garantissent leur avenir, notamment l’accès à une bonne éducation et aux soins médicaux.
Il a en outre fait remarquer que pour garantir l’avenir du jeune Centrafricain, plusieurs défis sont à relever. Il faut, selon lui, que toutes les populations se mobilisent autour de la politique nationale du Dije, résoudre le problème de l’insécurité, promouvoir la stabilité institutionnelle et ajuster l’enseignement primaire aux principes et philosophie du Dije.
Ce premier forum national vise à sensibiliser les acteurs clés sur le processus d’élaboration d’une politique nationale du Dije, obtenir une forte adhésion de tous les acteurs, identifier les problèmes rencontrés par le jeune enfant dans son cycle de vie (de 0 à 3 ans, de 3 à 6 ans et de 6 à 8 ans et enfin formuler des recommandations en vue de la résolution des problèmes que confronte le jeune centrafricain.
Les 100 participants à ce forum, prévu pour prendre fin mercredi 11 octobre, sont les représentants des différents départements ministériels et de la société civile ainsi que les préfets les présidents des délégations spéciales auprès des communes (maires centraux).
Selon M. Maliko la politique nationale qui sera mise en place après ce forum constitue un « nouveau levier capable d’induire le développement et la survie du jeune enfant centrafricain ». Car, a-t-il poursuivi, les enfants de 0 à 8 ans vivant en Centrafrique sont confrontés à de multiples problèmes.
Il a notamment cité le fort taux de mortalité maternelle, qui met les enfants en difficulté de croissance, le fort taux de mortalité infanto-juvénile, le faible taux d’accès à l’eau potable et à l’assainissement, le faible taux de scolarisation des enfants, l’insuffisance de prise en charge des orphelins du sida, etc.
Le représentant de l’Unicef en Centrafrique, le Docteur Joseph Foumbi a pour sa part signifié dans son exposé sur l’approche Dije que le programme du développement du jeune enfant contribue à la réduction de la pauvreté, la consolidation de la paix et de la bonne gouvernance en République Centrafricaine.
Selon lui, les enfants qui constituent l’avenir du pays doivent bénéficier de tous les atouts qui garantissent leur avenir, notamment l’accès à une bonne éducation et aux soins médicaux.
Il a en outre fait remarquer que pour garantir l’avenir du jeune Centrafricain, plusieurs défis sont à relever. Il faut, selon lui, que toutes les populations se mobilisent autour de la politique nationale du Dije, résoudre le problème de l’insécurité, promouvoir la stabilité institutionnelle et ajuster l’enseignement primaire aux principes et philosophie du Dije.
Ce premier forum national vise à sensibiliser les acteurs clés sur le processus d’élaboration d’une politique nationale du Dije, obtenir une forte adhésion de tous les acteurs, identifier les problèmes rencontrés par le jeune enfant dans son cycle de vie (de 0 à 3 ans, de 3 à 6 ans et de 6 à 8 ans et enfin formuler des recommandations en vue de la résolution des problèmes que confronte le jeune centrafricain.