L’objectif de cette interview est de dénoncer la vétusté des installations électriques datant quasiment de l’époque coloniale.
Bertrand Biro a démontré que « ces installations ne sont plus en mesure de supporter des charges nouvelles tels que les ordinateurs et les climatiseurs ». Raison pour laquelle, la maison vient d’enregistrer un quatrième incendie.
Il a déploré le fait que les multiples réclamations pour la réfection des installations électriques ont été sans suite et que les effets de l’actuel incendie se sont révélés très dommageables, par rapport aux précédents, a regretté Bertrand Biro.
Cet incendie, déclaré vers 12 heures, a été à l’origine de dégâts collatéraux dans les bureaux administratifs. Des ordinateurs ont été bousillés. Les victimes humaines ont été immédiatement prises en charge par Médecins Sans Frontière (MSF).
En ce qui concerne la maîtrise de l’incendie, elle a été possible grâce à l’intervention des pompiers de la MINUSCA et non ceux de l’Aéroport International de Bangui M’Poko qui avaient été sollicité auparavant.
Bertrand Biro a démontré que « ces installations ne sont plus en mesure de supporter des charges nouvelles tels que les ordinateurs et les climatiseurs ». Raison pour laquelle, la maison vient d’enregistrer un quatrième incendie.
Il a déploré le fait que les multiples réclamations pour la réfection des installations électriques ont été sans suite et que les effets de l’actuel incendie se sont révélés très dommageables, par rapport aux précédents, a regretté Bertrand Biro.
Cet incendie, déclaré vers 12 heures, a été à l’origine de dégâts collatéraux dans les bureaux administratifs. Des ordinateurs ont été bousillés. Les victimes humaines ont été immédiatement prises en charge par Médecins Sans Frontière (MSF).
En ce qui concerne la maîtrise de l’incendie, elle a été possible grâce à l’intervention des pompiers de la MINUSCA et non ceux de l’Aéroport International de Bangui M’Poko qui avaient été sollicité auparavant.