Centrafrique/Environnement :
Cet atelier est organisé en partenariat avec le Fonds mondial pour la protection de la nature (Wwf) devrait permettre à des agents forestiers de Bangui et de l’arrière-pays de recevoir une formation de base sur les aspects liés à la gestion durable des ressources forestières et d’élaborer les principes, critères et indicateurs (pci) nationaux sur la base de ceux de l’Organisation africaine du bois (Oab) et de l’Organisation internationale du bois tropical.
Le chargé de programme de wwf en Centrafrique, M. Bernard Yarissem, a expliqué pour sa part que, « l’harmonisation de ces principes est incontournable et que la solution rationnelle est l’une des tâches visant à renforcer la capacité et à élaborer les pci internationaux, afin de maintenir la biodiversité en Centrafrique ».
Il a également souligné que la méthodologie adaptée est basée sur trois éléments qui sont :
L’exposition par des personnes ressources ayant trait aux objectifs spécifiques, concernant essentiellement la première session sur la mise à niveau des participants, la mise en place des groupes de travail censés élaborer un draft des pci nationaux et enfin des séances de restitution et des plénières.
Il s’agit également de faciliter le suivi de la gestion forestière, y compris le fonctionnement du système de contrôle et sa certification.
Cet atelier qui prendra fin le 28 octobre prochain intervient 3 semaines après celui du 6 octobre dernier qui avait regroupé des agents forestiers, des cadres de certains départements ministériels ainsi que des représentants d’Ong afin de présenter le système actuel de suivi et de contrôle de la légalité des bois produits en RCA et d’examiner et valider le projet de Pci.
Cet atelier est organisé en partenariat avec le Fonds mondial pour la protection de la nature (Wwf) devrait permettre à des agents forestiers de Bangui et de l’arrière-pays de recevoir une formation de base sur les aspects liés à la gestion durable des ressources forestières et d’élaborer les principes, critères et indicateurs (pci) nationaux sur la base de ceux de l’Organisation africaine du bois (Oab) et de l’Organisation internationale du bois tropical.
Le chargé de programme de wwf en Centrafrique, M. Bernard Yarissem, a expliqué pour sa part que, « l’harmonisation de ces principes est incontournable et que la solution rationnelle est l’une des tâches visant à renforcer la capacité et à élaborer les pci internationaux, afin de maintenir la biodiversité en Centrafrique ».
Il a également souligné que la méthodologie adaptée est basée sur trois éléments qui sont :
L’exposition par des personnes ressources ayant trait aux objectifs spécifiques, concernant essentiellement la première session sur la mise à niveau des participants, la mise en place des groupes de travail censés élaborer un draft des pci nationaux et enfin des séances de restitution et des plénières.
Il s’agit également de faciliter le suivi de la gestion forestière, y compris le fonctionnement du système de contrôle et sa certification.
Cet atelier qui prendra fin le 28 octobre prochain intervient 3 semaines après celui du 6 octobre dernier qui avait regroupé des agents forestiers, des cadres de certains départements ministériels ainsi que des représentants d’Ong afin de présenter le système actuel de suivi et de contrôle de la légalité des bois produits en RCA et d’examiner et valider le projet de Pci.