Créée en 1988, cette institution régionale de l’Afrique de l’ouest et du centre qui est appuyée par l’organisation des Nations Unies pour la santé (OMS) a pour but d’aider à la construction des latrines décentes et d’offrir de l’eau potable à la population, d’assurer la formation des animateurs dans ces domaines et de sensibiliser les ONG dans le domaine de la santé participative.
En ouvrant les travaux de l’atelier, M. Dazoua a déclaré que la mission du CREPA est d’aider les populations les plus vulnérables de la République Centrafricaine à trouver des solutions durables aux problèmes d’eau et d’assainissement à moindre coût, rappelant que cette institution a été mise en place en Centrafrique en 2004 et a déjà aidé dans la construction des latrines dans les préfectures de la Nana-Gribizi, de l’Ouham et de l’Ombella-Mpoko.
Il a également précisé que le CREPA a eu à assurer la formation des enseignants et parents d’élèves dans le domaine de la gestion des latrines, la formation des maçons dans le domaine des ouvrages d’assainissement et de construction des points d’eau potable.
Organisé par la direction générale de l’hydraulique, cet atelier qui prendra fin le 29 novembre prochain, intervient une semaine seulement après le lancement officiel en Centrafrique du rapport mondial sur le développement humain de l’année 2006, qui portait sur l’eau et l’assainissement.
Le Premier ministre centrafricain déclarait à cette occasion que « la RCA jouit d’une abondance en eau dont la réserve renouvelable est estimé à 74,5 milliards de mètres cubes par an, mais que l’utilisation de ces ressources en eau reste très faible avec 0,4% contre une moyenne de 5,5% pour le continent Africain ».
Pour cela, il a souligné que son gouvernement va mobiliser 87 milliards F CFA sur les neuf années à venir afin de construire 3 800 forages et 28 systèmes d’adduction d’eau.
En ouvrant les travaux de l’atelier, M. Dazoua a déclaré que la mission du CREPA est d’aider les populations les plus vulnérables de la République Centrafricaine à trouver des solutions durables aux problèmes d’eau et d’assainissement à moindre coût, rappelant que cette institution a été mise en place en Centrafrique en 2004 et a déjà aidé dans la construction des latrines dans les préfectures de la Nana-Gribizi, de l’Ouham et de l’Ombella-Mpoko.
Il a également précisé que le CREPA a eu à assurer la formation des enseignants et parents d’élèves dans le domaine de la gestion des latrines, la formation des maçons dans le domaine des ouvrages d’assainissement et de construction des points d’eau potable.
Organisé par la direction générale de l’hydraulique, cet atelier qui prendra fin le 29 novembre prochain, intervient une semaine seulement après le lancement officiel en Centrafrique du rapport mondial sur le développement humain de l’année 2006, qui portait sur l’eau et l’assainissement.
Le Premier ministre centrafricain déclarait à cette occasion que « la RCA jouit d’une abondance en eau dont la réserve renouvelable est estimé à 74,5 milliards de mètres cubes par an, mais que l’utilisation de ces ressources en eau reste très faible avec 0,4% contre une moyenne de 5,5% pour le continent Africain ».
Pour cela, il a souligné que son gouvernement va mobiliser 87 milliards F CFA sur les neuf années à venir afin de construire 3 800 forages et 28 systèmes d’adduction d’eau.