Une pancarte indiquant les activités d'Aurafrique à Ndassima (Archives)
Si les deux premiers permis annulés ne concernent que la société Aurafrique S.A.R.L., filiale de la société canadienne Axmin, le troisième, lui, vise la succursale de la société Aurafrique S.A.R.L. qui est Somio Toungou S.A.
Officiellement, il est reproché à la société Aurafrique S.A.R.L. le non-respect des dispositions du Code minier centrafricain ; des clauses de la convention minière signée en 2006 et de son avenant, obligeant l'Etat à décider du retour au domaine public des secteurs incriminés, dont les permis ont été, ipso-facto, annulés.
Mais de sources recoupées, il ressort que les premiers permis d'exploitation aurifère ont été délivrés au mois de mars 2004 pour des activités d'exploration. Mais en 2011, les recherches sur les sites de Passendro ont été annoncées fructueuses, ce qui a permis au gouvernement d'octroyer à Aurafrique S.A.R.L. un permis d'exploitation en août 2010.
Entre 2010 et 2013, des violences armées ont handicapé la société Aurafrique S.A.R.L., dont la base-vie a été entièrement détruite, entraînant une suspension des activités.
Seulement, jusqu'au 21 mars 2019, la société Aurafrique S.A.R.L. a bénéficié de plusieurs suspensions de reprise des travaux, qui ont fait perdre au fisc centrafricain la somme de 184,4 milliards francs CFA.
Il est ajouté à cela le fait que la société Aurafrique S.A.R.L. ait autorisé deux sociétés que sont Dixon Ressources et Changin à mettre en valeur, dans l'illégalité, les sites querellés, conduisant alors le ministre des Mines et de la Géologie, M. Léopold Mboli Fatran, à proposer en conseil des ministres le retrait des permis concédés aux sociétés Aurafrique S.A.R.L. et Somio Toungou S.A. et à leur mise en compétition, à travers un avis d'appel d'offres international, dont la finalité est l'exploitation industrielle des domaines.
Officiellement, il est reproché à la société Aurafrique S.A.R.L. le non-respect des dispositions du Code minier centrafricain ; des clauses de la convention minière signée en 2006 et de son avenant, obligeant l'Etat à décider du retour au domaine public des secteurs incriminés, dont les permis ont été, ipso-facto, annulés.
Mais de sources recoupées, il ressort que les premiers permis d'exploitation aurifère ont été délivrés au mois de mars 2004 pour des activités d'exploration. Mais en 2011, les recherches sur les sites de Passendro ont été annoncées fructueuses, ce qui a permis au gouvernement d'octroyer à Aurafrique S.A.R.L. un permis d'exploitation en août 2010.
Entre 2010 et 2013, des violences armées ont handicapé la société Aurafrique S.A.R.L., dont la base-vie a été entièrement détruite, entraînant une suspension des activités.
Seulement, jusqu'au 21 mars 2019, la société Aurafrique S.A.R.L. a bénéficié de plusieurs suspensions de reprise des travaux, qui ont fait perdre au fisc centrafricain la somme de 184,4 milliards francs CFA.
Il est ajouté à cela le fait que la société Aurafrique S.A.R.L. ait autorisé deux sociétés que sont Dixon Ressources et Changin à mettre en valeur, dans l'illégalité, les sites querellés, conduisant alors le ministre des Mines et de la Géologie, M. Léopold Mboli Fatran, à proposer en conseil des ministres le retrait des permis concédés aux sociétés Aurafrique S.A.R.L. et Somio Toungou S.A. et à leur mise en compétition, à travers un avis d'appel d'offres international, dont la finalité est l'exploitation industrielle des domaines.