Le but de la rencontre entre le Président de la République avec les Magistrats retenus pour siéger à la Cour pénale spéciale, est d’évaluer l’état d’avancement des travaux de cette Cour pénale spéciale.
Le Président de la Cour pénale spéciale, Michel-Landry Louanga, a indiqué que la question des audiences des premiers procès de la Cour ont été abordées. A cet effet, le Président du Conseil supérieur de la magistrature a confirmé que par rapport aux travaux réalisés d’ici la fin de l’année, s’il n’y a pas de cas de force majeur, le tout premier procès va commencer.
Michel-Landry Louanga a réitéré que leur rencontre avec le Président du conseil supérieur de la magistrature n’est pas de faire des recommandations, mais d’exposer de manière claire tout ce qui a été fait et qui reste à faire.
Selon lui, la CPS a été créée par la volonté du peuple centrafricain, et cette volonté a été mise en œuvre par les autorités du pays, car, c’est une juridiction nationale d’où les magistrats appelés à travailler, doivent s’entretenir avec le Président de la République qui est également le Président du conseil supérieur de la magistrature.
Retenons que cette réunion de travail convoquée par le Président du conseil supérieur de la magistrature, a mobilisé des magistrats internationaux et nationaux appelés à siéger à la Cour pénale spéciale d’ici la fin de l’année 2021.
Le Président de la Cour pénale spéciale, Michel-Landry Louanga, a indiqué que la question des audiences des premiers procès de la Cour ont été abordées. A cet effet, le Président du Conseil supérieur de la magistrature a confirmé que par rapport aux travaux réalisés d’ici la fin de l’année, s’il n’y a pas de cas de force majeur, le tout premier procès va commencer.
Michel-Landry Louanga a réitéré que leur rencontre avec le Président du conseil supérieur de la magistrature n’est pas de faire des recommandations, mais d’exposer de manière claire tout ce qui a été fait et qui reste à faire.
Selon lui, la CPS a été créée par la volonté du peuple centrafricain, et cette volonté a été mise en œuvre par les autorités du pays, car, c’est une juridiction nationale d’où les magistrats appelés à travailler, doivent s’entretenir avec le Président de la République qui est également le Président du conseil supérieur de la magistrature.
Retenons que cette réunion de travail convoquée par le Président du conseil supérieur de la magistrature, a mobilisé des magistrats internationaux et nationaux appelés à siéger à la Cour pénale spéciale d’ici la fin de l’année 2021.