L’objectif de la rencontre est d’examiner le rapport de conjoncture qui a mis en évidence l‘évolution de l’environnement économique international à fin août 2021, la conjoncture économique nationale à fin août 2021 et les perspectives économiques et financières à court terme.
Le Ministre des Finances et du Budget a souligné dans le communiqué de presse qu’au niveau national, les membres du CNEF ont pris acte du rebond des activités économiques à fin août, en rapport avec (1) la poursuite des opérations de sécurisation de l’ensemble du territoire national, (2) le recul de la pandémie du COVID-19 au niveau national et (3) la baisse des tensions qui ont pesé sur les finances publiques au court du premier semestre, suite à des levées de fonds sur le marché des titres publics.
Sur le plan international, Hervé Ndoba a fait savoir que le comité a noté la poursuite de l’activité économique mondiale, en relation avec (1) l’élargissement de la couverture vaccinale à l’échelle mondiale, (2) la consolidation des mesures de soutien budgétaire dans plusieurs pays avancés, et (3) la décision du FMI de procéder à une allocation générale de droits de tirages spéciaux (DTS) à hauteur de plus de 600 milliards de dollars en vue d’accroître les avoirs de réserve de tous les pays. Dans ce contexte, les dernières prévisions du FMI publiées en octobre 2021 tablent sur une croissance mondiale de 5,9% en 2021, contre -3,1%, en 2020.
S’agissant des perspectives, les membres du comité ont pris connaissance de l’évolution prévisible de la situation macroéconomique à travers deux scenarii : (1) un scénario de base qui table sur le fait que la normalisation de la circulation observée sur le corridor depuis fin mai se poursuive jusqu’à la fin d’année, toutefois avec quelques incidents sécuritaires sporadiques.
« Dans ce cas, la croissance du PIB réel s’établirait à 1,9%, contre 1,0 % en 2020; et (2) un scénario optimiste prévoyant quant à lui, la poursuite jusqu’à fin décembre 2021, de la reprise normale de la circulation sur le corridor, sans incidents sécuritaires dans le pays. Ce qui entrainerait une accélération des activités économiques avec un taux de croissance de 3,0%, contre 1,0 % en 2020 », suivant le communiqué de presse.
Selon le même communiqué de presse, les membres du CNEF ont pris note de l’évolution du système financier du 30 juin 2021, de la situation du marché régional au 30 septembre 2021, de l’exécution du budget en 2021 et adopté le budget de l’exercice 2022.
Il convient de signaler qu’ont pris part à cette session, les membres statutaires du CNEF de la République Centrafricaine et par visioconférence, le Gouverneur de la BEAC, le Secrétaire général de la COBAC, le Président de la COSUMAF, le Directeur général de la BVMAC, et le responsable du dépositaire central du marché financier de l’Afrique centrale.
Le Ministre des Finances et du Budget a souligné dans le communiqué de presse qu’au niveau national, les membres du CNEF ont pris acte du rebond des activités économiques à fin août, en rapport avec (1) la poursuite des opérations de sécurisation de l’ensemble du territoire national, (2) le recul de la pandémie du COVID-19 au niveau national et (3) la baisse des tensions qui ont pesé sur les finances publiques au court du premier semestre, suite à des levées de fonds sur le marché des titres publics.
Sur le plan international, Hervé Ndoba a fait savoir que le comité a noté la poursuite de l’activité économique mondiale, en relation avec (1) l’élargissement de la couverture vaccinale à l’échelle mondiale, (2) la consolidation des mesures de soutien budgétaire dans plusieurs pays avancés, et (3) la décision du FMI de procéder à une allocation générale de droits de tirages spéciaux (DTS) à hauteur de plus de 600 milliards de dollars en vue d’accroître les avoirs de réserve de tous les pays. Dans ce contexte, les dernières prévisions du FMI publiées en octobre 2021 tablent sur une croissance mondiale de 5,9% en 2021, contre -3,1%, en 2020.
S’agissant des perspectives, les membres du comité ont pris connaissance de l’évolution prévisible de la situation macroéconomique à travers deux scenarii : (1) un scénario de base qui table sur le fait que la normalisation de la circulation observée sur le corridor depuis fin mai se poursuive jusqu’à la fin d’année, toutefois avec quelques incidents sécuritaires sporadiques.
« Dans ce cas, la croissance du PIB réel s’établirait à 1,9%, contre 1,0 % en 2020; et (2) un scénario optimiste prévoyant quant à lui, la poursuite jusqu’à fin décembre 2021, de la reprise normale de la circulation sur le corridor, sans incidents sécuritaires dans le pays. Ce qui entrainerait une accélération des activités économiques avec un taux de croissance de 3,0%, contre 1,0 % en 2020 », suivant le communiqué de presse.
Selon le même communiqué de presse, les membres du CNEF ont pris note de l’évolution du système financier du 30 juin 2021, de la situation du marché régional au 30 septembre 2021, de l’exécution du budget en 2021 et adopté le budget de l’exercice 2022.
Il convient de signaler qu’ont pris part à cette session, les membres statutaires du CNEF de la République Centrafricaine et par visioconférence, le Gouverneur de la BEAC, le Secrétaire général de la COBAC, le Président de la COSUMAF, le Directeur général de la BVMAC, et le responsable du dépositaire central du marché financier de l’Afrique centrale.