Le ministre des Télécommunications, Fidèle Gouandjika et le directeur général de Telecel Centrafrique, Jimmy Shapengba paraphant les documents (Ph. Yaka/Acap)
« Le reliquat sera versé par le nouvel actionnaire d’ici la fin du mois », a indiqué M. Fidèle Gouandjika, ministre des Postes et Télécommunications chargé des Nouvelles Technologies.
Avec cette licence globale, dont la convention de mutation a été signée par le ministre Fidèle Gouandjika et le directeur général de Telecel Centrafrique, M. Jimmy Shapengba, Telecel est autorisée à établir et à exploiter un réseau et /ou des services de télécommunication tels que le GSM 900 et 1800, le GPRS, l’EDGE 3G, Wimax, WLL, le Wifi, l’Internet Mobile ou fixe.
Telecel centrafrique, premier opérateur de téléphonie mobile à s’installer en Centrafrique, depuis 1995, avec un capital social de 3 milliards F CFA a été frappée de plein fouet par la concurrence avec l’arrivée de nouveaux opérateurs très puissants tels que Orange Centrafrique, Nation Link et Moov Centrafrique.
Pour faire face à cette concurrence, elle envisage de réorganiser son actionnariat et d’obtenir la mutation de la licence GSM actuelle vers la nouvelle licence globale ainsi que l’accès à la bande passante internationale afin de maîtriser ses communications tant nationales qu’internationales à des conditions de rentabilité et de qualité optimale.
A signaler que sur le milliard touché par l'Etat centrafricain, 100 millions devront revenir à l’Agence de Régulation des Télécommunications (ART) et 900 millions au Trésor Public.
Avec cette licence globale, dont la convention de mutation a été signée par le ministre Fidèle Gouandjika et le directeur général de Telecel Centrafrique, M. Jimmy Shapengba, Telecel est autorisée à établir et à exploiter un réseau et /ou des services de télécommunication tels que le GSM 900 et 1800, le GPRS, l’EDGE 3G, Wimax, WLL, le Wifi, l’Internet Mobile ou fixe.
Telecel centrafrique, premier opérateur de téléphonie mobile à s’installer en Centrafrique, depuis 1995, avec un capital social de 3 milliards F CFA a été frappée de plein fouet par la concurrence avec l’arrivée de nouveaux opérateurs très puissants tels que Orange Centrafrique, Nation Link et Moov Centrafrique.
Pour faire face à cette concurrence, elle envisage de réorganiser son actionnariat et d’obtenir la mutation de la licence GSM actuelle vers la nouvelle licence globale ainsi que l’accès à la bande passante internationale afin de maîtriser ses communications tant nationales qu’internationales à des conditions de rentabilité et de qualité optimale.
A signaler que sur le milliard touché par l'Etat centrafricain, 100 millions devront revenir à l’Agence de Régulation des Télécommunications (ART) et 900 millions au Trésor Public.