Cette promesse d’appui provient des indications chiffrées fournies par certains partenaires présents à la table ronde, à savoir, notamment, la Chine, la Commission Européenne, la Banque Mondiale, la BAD, la France, ainsi que des agences du Système des Nations Unies, indique le communiqué rendu public à l’issue de la rencontre.
« D’autres partenaires au développement ont indiqué leur disponibilité à s’engager à une date ultérieure. Le niveau et la période de leur engagement dépendront des moyens budgétaires disponibles au cours de leur cycle de programmation », poursuit le communiqué.
Toutefois, relève le communiqué, les bailleurs de fonds « ont fortement recommandé au Gouvernement de procéder à une priorisation des projets qui permettraient de les guider dans les appuis financiers qu’ils préconisent » en vue d’une bonne exécution du Dsrp.
Les partenaires suggèrent également l’organisation d’autres rencontres du même type pour le suivi de l’exécution des actions prévues ainsi que la consolidation du dialogue avec le gouvernement « autour des stratégies, programmes et fiches de projets sectoriels et leurs besoins de financements spécifiques », conclut le communiqué.
Interrogé par la radio nationale à Bruxelles sur le résultat de la table ronde, le Premier ministre Elie Doté a déclaré que « c’est un résultat qui, sans préjuger de ce qui pourrait être l’apport supplémentaire des uns et des autres, est assez éloquent et qui peut montrer qu’effectivement la table ronde a été un succès ».
Mais il s’est toutefois empressé d’exhorter ses compatriotes à se mettre au travail, expliquant que « Ce n’est pas parce que nos collègues, nos amis, nos partenaires nous apportent leur appui qu’il faut croiser les bras ».
Quant au Président de la République, François Bozizé, qui a ouvert les travaux de la table ronde vendredi à Bruxelles, il est rentré « soulagé » à Bangui aux premières heures de la matinée de samedi, a-t-on appris de source officielle.
Il convient de rappeler que la réussite de cette table ronde des bailleurs de fonds de la Centrafrique intervient après l’atteinte par le pays, en septembre dernier, de son point de décision pour l’admission à l’initiative en faveur des pays pauvres très endettés (Ppte), lequel point de décision lui permet de bénéficier d’un allègement de ses dettes extérieures de l’ordre de 90%.
« D’autres partenaires au développement ont indiqué leur disponibilité à s’engager à une date ultérieure. Le niveau et la période de leur engagement dépendront des moyens budgétaires disponibles au cours de leur cycle de programmation », poursuit le communiqué.
Toutefois, relève le communiqué, les bailleurs de fonds « ont fortement recommandé au Gouvernement de procéder à une priorisation des projets qui permettraient de les guider dans les appuis financiers qu’ils préconisent » en vue d’une bonne exécution du Dsrp.
Les partenaires suggèrent également l’organisation d’autres rencontres du même type pour le suivi de l’exécution des actions prévues ainsi que la consolidation du dialogue avec le gouvernement « autour des stratégies, programmes et fiches de projets sectoriels et leurs besoins de financements spécifiques », conclut le communiqué.
Interrogé par la radio nationale à Bruxelles sur le résultat de la table ronde, le Premier ministre Elie Doté a déclaré que « c’est un résultat qui, sans préjuger de ce qui pourrait être l’apport supplémentaire des uns et des autres, est assez éloquent et qui peut montrer qu’effectivement la table ronde a été un succès ».
Mais il s’est toutefois empressé d’exhorter ses compatriotes à se mettre au travail, expliquant que « Ce n’est pas parce que nos collègues, nos amis, nos partenaires nous apportent leur appui qu’il faut croiser les bras ».
Quant au Président de la République, François Bozizé, qui a ouvert les travaux de la table ronde vendredi à Bruxelles, il est rentré « soulagé » à Bangui aux premières heures de la matinée de samedi, a-t-on appris de source officielle.
Il convient de rappeler que la réussite de cette table ronde des bailleurs de fonds de la Centrafrique intervient après l’atteinte par le pays, en septembre dernier, de son point de décision pour l’admission à l’initiative en faveur des pays pauvres très endettés (Ppte), lequel point de décision lui permet de bénéficier d’un allègement de ses dettes extérieures de l’ordre de 90%.