Photo d'archives
La Ministre Aline-Gisèle Pana a expliqué qu’avec cette campagne organisée en partenariat avec l’Union Africaine, les langues commencent à se délier et les proches des victimes de viol commencent à dénoncer les auteurs de toutes sortes de violences faites aux femmes.
Elle a souligné qu’il était grand temps d’en parler, parce que le viol peut constituer un handicap à l’émancipation de la femme et l’empêcher même de contribuer au développement ou au relèvement économique de son pays.
Le membre du gouvernement a salué l’appui multiforme de l’Union Africaine en ce qui concerne l’organisation de la journée internationale de la femme et la campagne de vulgarisation de l’accord politique de paix et de réconciliation en Centrafrique.
Le Représentant de l’Union Africaine, Mathias-Bertino Motondo a quant à lui noté que l’impact de cette campagne était réel a en croire la mobilisation de toutes les organisations qui luttent contre la violence basée sur le genre.
Selon lui, l’objectif de cette campagne était d’informer le public cible sur le phénomène des VBG, comment l’encadrer et enfin déterminer les mesures à prendre afin de réduire ce phénomène qui devient de plus en plus criard dans les pays en conflits comme la République Centrafricaine.
Il convient de rappeler que durant ces 16 jours d’activisme contre la violence base sur le genre, il y a eu la tenue d’un atelier sur les causes et conséquences des VBG et des séries de causeries éducatives à Bégoua et dans certains arrondissements de Bangui.
Elle a souligné qu’il était grand temps d’en parler, parce que le viol peut constituer un handicap à l’émancipation de la femme et l’empêcher même de contribuer au développement ou au relèvement économique de son pays.
Le membre du gouvernement a salué l’appui multiforme de l’Union Africaine en ce qui concerne l’organisation de la journée internationale de la femme et la campagne de vulgarisation de l’accord politique de paix et de réconciliation en Centrafrique.
Le Représentant de l’Union Africaine, Mathias-Bertino Motondo a quant à lui noté que l’impact de cette campagne était réel a en croire la mobilisation de toutes les organisations qui luttent contre la violence basée sur le genre.
Selon lui, l’objectif de cette campagne était d’informer le public cible sur le phénomène des VBG, comment l’encadrer et enfin déterminer les mesures à prendre afin de réduire ce phénomène qui devient de plus en plus criard dans les pays en conflits comme la République Centrafricaine.
Il convient de rappeler que durant ces 16 jours d’activisme contre la violence base sur le genre, il y a eu la tenue d’un atelier sur les causes et conséquences des VBG et des séries de causeries éducatives à Bégoua et dans certains arrondissements de Bangui.