"l'ordre national des médecins vétérinaires est justement le gendarme de la profession, le garant du bon exercice de votre métier, pour que la viande que chaque centrafricain trouve dans son assiette, ce qui peut amener à toucher, ne soit pas un moyen de contaminer, mais de prévenir d'autres maladies", a expliqué le colonel Massi à l'ouverture de l'assemblée générale ordinaire des médecins vétérinaires, au siège de la Fédération nationale des éleveurs centrafricains(FNEC).
Il les a assuré que le gouvernement ne se désintéresse nullement des actions qu'ils mènent.
Selon le président du Conseil de l'ordre des vétérinaires, M. Daniel Emery Dédé, l'ordre nationale des vétérinaires n'est pas un syndicat des vétérinaires, pouvant défendre leurs intérets matériels et moraux, mais une institution chargée de moraliser la profession vétérinaire, par un contrôle d'accès à la profession en écartant les faux diplômes et en veillant au respect du code de déonthologie ainsi qu'à la compétence du vétérinaire dans l'exercice de son métier.
Le vice-président du conseil, M Arsène Komanda, a pour sa part plaidé auprès du gouvernement pour la délivrance d'un mandat pouvant permettre aux médecins vétérinaires d'exercer dans les établissements privés et de garantir la qualité des denrées alimentaires.
Il a profité de l'occasion pour exhorter le gouvernement à prendre des dispositions susceptibles de faciliter le retour au pays des éleveurs de bétail réfugiés dans les pays voisins à cause de l'insécurité dans les zones d'élevage.
Il les a assuré que le gouvernement ne se désintéresse nullement des actions qu'ils mènent.
Selon le président du Conseil de l'ordre des vétérinaires, M. Daniel Emery Dédé, l'ordre nationale des vétérinaires n'est pas un syndicat des vétérinaires, pouvant défendre leurs intérets matériels et moraux, mais une institution chargée de moraliser la profession vétérinaire, par un contrôle d'accès à la profession en écartant les faux diplômes et en veillant au respect du code de déonthologie ainsi qu'à la compétence du vétérinaire dans l'exercice de son métier.
Le vice-président du conseil, M Arsène Komanda, a pour sa part plaidé auprès du gouvernement pour la délivrance d'un mandat pouvant permettre aux médecins vétérinaires d'exercer dans les établissements privés et de garantir la qualité des denrées alimentaires.
Il a profité de l'occasion pour exhorter le gouvernement à prendre des dispositions susceptibles de faciliter le retour au pays des éleveurs de bétail réfugiés dans les pays voisins à cause de l'insécurité dans les zones d'élevage.