L’AMBASSADE MAROCAINE A STOCKHOLM A L’ORIGINE DE L’INELIGIBILITE DU ‘’POLISARIO’’ AU MEMBERSHIP DU GROUPE DES AMBASSADEURS AFRICAINS ACCREDITES EN SUEDE
-Echec des manœuvres DE LA DIPLOMATIE algérienne-
Toujours en proie à ses fixations obsessionnellement caractérielles contre la marocanité du Sahara, la diplomatie algérienne vient d’essuyer un revers des plus cuisants, suite à la mise en échec par l’Ambassadeur marocain à Stockholm des manœuvres déployées par son homologue algérien visant à imposer le nouveau représentant du «polisario» au Groupe des Ambassadeurs africains accrédités en Suède.
Toutefois, le «polisario» , que cet Ambassadeur algérien s’est évertué à faire participer aux réunions de ce Groupe, est, en fait, le bras armé de la RASD « république arabe sahraouie démocratique » et qui hallucine avoir, de surcroît, le statut de mouvement de libération nationale.
Ainsi, l’Ambassadeur algérien, misant déraisonnablement sur la présence de nombreux pays de l’Afrique de l’Est et sur le décanat de l’Ambassadeur du Zimbabwe (autant de pays alliés de l’Algérie), a voulu insérer la question de la représentation du «polisario» dans ce groupe à l’ordre du jour de sa réunion du 03 décembre courant.
Or, les efforts inlassables de l’Ambassadeur marocain dénonçant ces irréguliers procédés ont acculé l’Ambassadeur algérien, à plaider, en désespoir de cause, pour la participation du nouveau représentant du «polisario» à toutes les réunions extraordinaires du Groupe sur les sujets liés à l’Union Africaine et à la préparation de « l’Africa Day» et ce, à défaut de pouvoir prendre part à toutes ses réunions ordinaires.
S’en sont suivies, alors, de vives protestations de l’Ambassadeur du Maroc, qui ont été couronnées par les conclusions des consultations que l’Ambassadeur nigérian avait menées à la recommandation du Doyen zimbabwéen, conclusions appuyées, à leur juste valeur, par les Ambassadeurs Sénégalais, Mozambicain et Zimbabwéen, sur la nécessité de préserver le statut quo selon lequel la présence du polisario n’est permise ni aux réunions ordinaires, ni extraordinaires, encore moins à celles relatives à «l’Africa Day»
Informé à l’avance qu’il allait être ainsi débouté dans sa sollicitation atypique, l’Ambassadeur algérien a opté pour le stratagème de la chaise vide à la réunion du prononcé de cette frustrante décision et a été jusqu’à ne pas daigner s’y faire représenter.
C’est dire que l’adage exprimant parfaitement la profonde sagesse populaire qui caractérise l’Afrique « le ridicule ne tue pas », illustre parfaitement ce nouveau cas de figure de l’ineffectif activisme algérien dans le dossier du Sahara Marocain.
-Echec des manœuvres DE LA DIPLOMATIE algérienne-
Toujours en proie à ses fixations obsessionnellement caractérielles contre la marocanité du Sahara, la diplomatie algérienne vient d’essuyer un revers des plus cuisants, suite à la mise en échec par l’Ambassadeur marocain à Stockholm des manœuvres déployées par son homologue algérien visant à imposer le nouveau représentant du «polisario» au Groupe des Ambassadeurs africains accrédités en Suède.
Toutefois, le «polisario» , que cet Ambassadeur algérien s’est évertué à faire participer aux réunions de ce Groupe, est, en fait, le bras armé de la RASD « république arabe sahraouie démocratique » et qui hallucine avoir, de surcroît, le statut de mouvement de libération nationale.
Ainsi, l’Ambassadeur algérien, misant déraisonnablement sur la présence de nombreux pays de l’Afrique de l’Est et sur le décanat de l’Ambassadeur du Zimbabwe (autant de pays alliés de l’Algérie), a voulu insérer la question de la représentation du «polisario» dans ce groupe à l’ordre du jour de sa réunion du 03 décembre courant.
Or, les efforts inlassables de l’Ambassadeur marocain dénonçant ces irréguliers procédés ont acculé l’Ambassadeur algérien, à plaider, en désespoir de cause, pour la participation du nouveau représentant du «polisario» à toutes les réunions extraordinaires du Groupe sur les sujets liés à l’Union Africaine et à la préparation de « l’Africa Day» et ce, à défaut de pouvoir prendre part à toutes ses réunions ordinaires.
S’en sont suivies, alors, de vives protestations de l’Ambassadeur du Maroc, qui ont été couronnées par les conclusions des consultations que l’Ambassadeur nigérian avait menées à la recommandation du Doyen zimbabwéen, conclusions appuyées, à leur juste valeur, par les Ambassadeurs Sénégalais, Mozambicain et Zimbabwéen, sur la nécessité de préserver le statut quo selon lequel la présence du polisario n’est permise ni aux réunions ordinaires, ni extraordinaires, encore moins à celles relatives à «l’Africa Day»
Informé à l’avance qu’il allait être ainsi débouté dans sa sollicitation atypique, l’Ambassadeur algérien a opté pour le stratagème de la chaise vide à la réunion du prononcé de cette frustrante décision et a été jusqu’à ne pas daigner s’y faire représenter.
C’est dire que l’adage exprimant parfaitement la profonde sagesse populaire qui caractérise l’Afrique « le ridicule ne tue pas », illustre parfaitement ce nouveau cas de figure de l’ineffectif activisme algérien dans le dossier du Sahara Marocain.