La toute première série de soutenances en master II d’anthropologie de l’histoire de la République Centrafricaine, organisée en partenariat avec la coopération française, a eu lieu du 8 au 10 mars dernier à l’université de Bangui.
Les thèmes retenus pour ces soutenances sont, entre autres, transmission et échange de savoirs médicaux à Bangui, les présentations du VIH/sida en République Centrafricaine : états des lieux avec études de cas, transmission de savoir chez les fondeurs de métaux de récupération ou ( Matawa), éducation sexuelle et sida chez les Ali de Borossé et mode d’acquisition des savoirs en médecine traditionnelle.
Le ministre de l’Education Nationale, M. Doubane a déclaré que « l’Université de Bangui a entamé une politique de diversification de son offre de formation et de modernisation depuis ces dernières années » par l’adoption et la mise en application du système LMD (Licence Master Doctorat), qui lui permet désormais de s’aligner sur un système de « référence mondiale », ce qui offre des possibilités de « mobilité et d’échanges internationaux à ses enseignants chercheurs » a-t-il conclu.
« Le département d’anthropologie de la faculté des lettres et sciences humaines sert d’exemple et de locomotive pour entraîner les autres établissements dans cette voie », a déclaré pour sa part le recteur de l’Université de Bangui, M. Faustin Touadéra, qui a indiqué que les « premiers résultats des formations en master II d’anthropologie nous confortent dans cette conviction».
Rappelons que les soutenances de master II, sont l’équivalent de l’ancien Diplôme d’études approfondies (D.E.A).
Signalons que la cérémonie des premières soutenances de master II d’anthropologie s’est déroulée en présence de deux professeurs venus de l’université d’Aix-Marseille I en France, les Professeurs Bruno Martinelli et Jacky Bouju.
Les thèmes retenus pour ces soutenances sont, entre autres, transmission et échange de savoirs médicaux à Bangui, les présentations du VIH/sida en République Centrafricaine : états des lieux avec études de cas, transmission de savoir chez les fondeurs de métaux de récupération ou ( Matawa), éducation sexuelle et sida chez les Ali de Borossé et mode d’acquisition des savoirs en médecine traditionnelle.
Le ministre de l’Education Nationale, M. Doubane a déclaré que « l’Université de Bangui a entamé une politique de diversification de son offre de formation et de modernisation depuis ces dernières années » par l’adoption et la mise en application du système LMD (Licence Master Doctorat), qui lui permet désormais de s’aligner sur un système de « référence mondiale », ce qui offre des possibilités de « mobilité et d’échanges internationaux à ses enseignants chercheurs » a-t-il conclu.
« Le département d’anthropologie de la faculté des lettres et sciences humaines sert d’exemple et de locomotive pour entraîner les autres établissements dans cette voie », a déclaré pour sa part le recteur de l’Université de Bangui, M. Faustin Touadéra, qui a indiqué que les « premiers résultats des formations en master II d’anthropologie nous confortent dans cette conviction».
Rappelons que les soutenances de master II, sont l’équivalent de l’ancien Diplôme d’études approfondies (D.E.A).
Signalons que la cérémonie des premières soutenances de master II d’anthropologie s’est déroulée en présence de deux professeurs venus de l’université d’Aix-Marseille I en France, les Professeurs Bruno Martinelli et Jacky Bouju.