"Ces hommes armés circulés en véhicule ont forcé leur entrée dans l'hôtel et amené les deux Français vers un endroit inconnu", a déclaré à Xinhua un responsable de l'hôtel Sahafi sous couvert d'anonymat.
Ces ravisseurs ont d'abord désarmé les agents de sécurité de l'hôtel avant de prendre les en otage deux Français qui étaient alors dans leurs chambres.
On ignore pour l'instant pour quel organe de presse les deux journalistes travaillent et depuis quand ils séjournent à Mogadisco.
Certains des ravisseurs revêtissaient les uniformes des forces de sécurité somalienne, a indiqué la source, affirmant pourtant ne pas être claire s'il s'agissait vraiment de soldats des forces gouvernementales.
Deux autres journalistes étrangers, un Canadien et un Australien, sont retenus depuis plusieurs mois en otage en Somalie. Les ravisseurs, qui ont exigé près de deux millions de dollars américains pour leur libération, ont une nouvelle fois menacé de les tuer.
Il n'y a aucune information concernant la situation des deux journalistes ni le lieu de leur détention ces derniers mois.
Il paraît que des groupes indépendants sont impliqués dans l'enlèvement d'étrangers en Somalie car les rançons constituent la principale demande des ravisseurs, qui, en vue d'obtenir des rançons, traitent normalement bien leurs otages.
La Somalie est dépourvue de gouvernement central efficace depuis la chute de l'ancien régime de Mohamed Siad Barré en 1991.
Ces ravisseurs ont d'abord désarmé les agents de sécurité de l'hôtel avant de prendre les en otage deux Français qui étaient alors dans leurs chambres.
On ignore pour l'instant pour quel organe de presse les deux journalistes travaillent et depuis quand ils séjournent à Mogadisco.
Certains des ravisseurs revêtissaient les uniformes des forces de sécurité somalienne, a indiqué la source, affirmant pourtant ne pas être claire s'il s'agissait vraiment de soldats des forces gouvernementales.
Deux autres journalistes étrangers, un Canadien et un Australien, sont retenus depuis plusieurs mois en otage en Somalie. Les ravisseurs, qui ont exigé près de deux millions de dollars américains pour leur libération, ont une nouvelle fois menacé de les tuer.
Il n'y a aucune information concernant la situation des deux journalistes ni le lieu de leur détention ces derniers mois.
Il paraît que des groupes indépendants sont impliqués dans l'enlèvement d'étrangers en Somalie car les rançons constituent la principale demande des ravisseurs, qui, en vue d'obtenir des rançons, traitent normalement bien leurs otages.
La Somalie est dépourvue de gouvernement central efficace depuis la chute de l'ancien régime de Mohamed Siad Barré en 1991.