Vue partielle des relais d’alerte précoce pendant leur formation
Le but de cette formation, destinée aux relais d’alerte précoce que sont les représentants de la société civile, de la plateforme religieuse, des ONG des droits de l’homme, des jeunes et des ex-antibalaka des localités de Babaza, Balégo, Bania, Berbérati, Dédé Mokouba, Gamboula, Nassolé, Sosso-Nakombo et Wapo, est de renforcer leurs capacités à discerner les informations qui peuvent être utiles aux forces de la MINUSCA pour contenir les actes de violence et surtout assurer la protection des populations.
Les principales communications ayant suscité d’intenses échanges ont porté sur la protection des civils en période de conflit armé, les règles d’engagement, les rôles des comités locaux d’alerte, ainsi que les perspectives.
L’imam de la mosquée centrale de Berbérati, Harroun Rachida Mamouda, a admis « qu’il est désormais aguerri pour être les yeux et les oreilles de la MINUSCA dans sa communauté ».
Cependant, il a suggéré à la MINUSCA de tenir toujours compte des attentes et aspirations des populations dans ses interventions, sans imposer quoi que ce soit.
Le Président de la jeunesse de la Mambéré Kadéï, Joachim Mélinga, a rappelé l’action des jeunes de la Mambéré Kadéï, qui a favorisé le retour des musulmans chez eux après un long séjour sur le site des déplacés internes de l’Evêché.
Il a aussi fait savoir que le succès de l’action des jeunes a été appuyé par la MINUSCA, qui fournit des mégaphones et banderoles pour les campagnes de sensibilisation. Il a par ailleurs mentionné les activités socio-sportives, organisées en synergie avec la MINUSCA, et qui ont été un catalyseur pour le vivre-ensemble et la cohésion sociale dans la Mambéré Kadéï.
Au terme de la formation, l'assistante de liaison communautaire, Stella Line Dila Mémadji, a recommandé aux 60 relais d’alerte précoce de la Préfecture de la Mambéré Kadéï de bien se servir des outils mis à leur disposition en vue de mieux gérer les renseignements à partager avec la MINUSCA.
Les principales communications ayant suscité d’intenses échanges ont porté sur la protection des civils en période de conflit armé, les règles d’engagement, les rôles des comités locaux d’alerte, ainsi que les perspectives.
L’imam de la mosquée centrale de Berbérati, Harroun Rachida Mamouda, a admis « qu’il est désormais aguerri pour être les yeux et les oreilles de la MINUSCA dans sa communauté ».
Cependant, il a suggéré à la MINUSCA de tenir toujours compte des attentes et aspirations des populations dans ses interventions, sans imposer quoi que ce soit.
Le Président de la jeunesse de la Mambéré Kadéï, Joachim Mélinga, a rappelé l’action des jeunes de la Mambéré Kadéï, qui a favorisé le retour des musulmans chez eux après un long séjour sur le site des déplacés internes de l’Evêché.
Il a aussi fait savoir que le succès de l’action des jeunes a été appuyé par la MINUSCA, qui fournit des mégaphones et banderoles pour les campagnes de sensibilisation. Il a par ailleurs mentionné les activités socio-sportives, organisées en synergie avec la MINUSCA, et qui ont été un catalyseur pour le vivre-ensemble et la cohésion sociale dans la Mambéré Kadéï.
Au terme de la formation, l'assistante de liaison communautaire, Stella Line Dila Mémadji, a recommandé aux 60 relais d’alerte précoce de la Préfecture de la Mambéré Kadéï de bien se servir des outils mis à leur disposition en vue de mieux gérer les renseignements à partager avec la MINUSCA.