« Le gouvernement attend de signer l’accord global avec les trois groupes comme préalable contenu dans le rapport du Comité Préparatoire du Dialogue Politique Inclusif avant la date de ses assises qui sera fixée par le Comité d’organisation qui sera à pied d’oeuvre dans les prochains jours », a indiqué M. Gonda, au cours d’un point de presse destiné à situer l'opinion sur la date du Dialogue Politique Inclusif.
M. Gonda a également indiqué que les mesures de décrispation, autre préalable fixé par le comité préparatoire du Dialogue Politique Inclusif, sont à l'étude auprès du Président François Bozizé, qui attend la signature de l’accord global avant de les mettre en chantier.
Selon le ministre, « la date du 8 juin reste une proposition conformément à l’esprit que le Comité Préparatoire s’est donné en proposant cette date".
A la question de savoir si l’arrestation de Jean Pierre Bemba aura une incidence sur le forum inter centrafricain, le ministre Gonda a déclaré que l’arrestation de Jean Pierre Bemba a simplement "des effets d’analyse sur la vie politique centrafricaine ».
« Nous avons la sérénité et nous devons, en tant qu’Etat responsable, observer la réserve de façon à créer les conditions de confidentialité qui sont des conditions requises de façon sine qua non pour la poursuite d’une procédure judiciaire qui est sous le fait d’enquête », a –t-il poursuivi.
Il convient de préciser que dans le rapport remis au Président François Bozizé le 25 avril dernier, le Comité Préparatoire du Dialogue Politique Inclusif a préconisé la signature d’un accord global avec tous les groupes armés et l'adoption de mesures judiciaires et d’ordre sécuritaire pour faciliter la participation de tous les protagonistes de la crise engendrée par l’existence de rébellions.
Pour mémoire, le gouvernement a signé successivement le 2 février 2007 à Syrte l’accord de paix avec le Front pour la Démocratie du Peuple centrafricain (FDPC), d’Abdoulaye Miskine, le 13 avril 2007, un accord de paix avec l’Union des Forces démocratiques pour le Rassemblement (UFDR) de Michel Am Non Droko Dotodja et le 9 mai 2008 à Libreville un accord de paix et de cessez-le-feu avec l’Armée Populaire pour la Restauration de la Démocratie (APRD) a porté à sa présidence fin mars dernier l'ancien ministre de la Défense Jean-Jacques Demafouth.
M. Gonda a également indiqué que les mesures de décrispation, autre préalable fixé par le comité préparatoire du Dialogue Politique Inclusif, sont à l'étude auprès du Président François Bozizé, qui attend la signature de l’accord global avant de les mettre en chantier.
Selon le ministre, « la date du 8 juin reste une proposition conformément à l’esprit que le Comité Préparatoire s’est donné en proposant cette date".
A la question de savoir si l’arrestation de Jean Pierre Bemba aura une incidence sur le forum inter centrafricain, le ministre Gonda a déclaré que l’arrestation de Jean Pierre Bemba a simplement "des effets d’analyse sur la vie politique centrafricaine ».
« Nous avons la sérénité et nous devons, en tant qu’Etat responsable, observer la réserve de façon à créer les conditions de confidentialité qui sont des conditions requises de façon sine qua non pour la poursuite d’une procédure judiciaire qui est sous le fait d’enquête », a –t-il poursuivi.
Il convient de préciser que dans le rapport remis au Président François Bozizé le 25 avril dernier, le Comité Préparatoire du Dialogue Politique Inclusif a préconisé la signature d’un accord global avec tous les groupes armés et l'adoption de mesures judiciaires et d’ordre sécuritaire pour faciliter la participation de tous les protagonistes de la crise engendrée par l’existence de rébellions.
Pour mémoire, le gouvernement a signé successivement le 2 février 2007 à Syrte l’accord de paix avec le Front pour la Démocratie du Peuple centrafricain (FDPC), d’Abdoulaye Miskine, le 13 avril 2007, un accord de paix avec l’Union des Forces démocratiques pour le Rassemblement (UFDR) de Michel Am Non Droko Dotodja et le 9 mai 2008 à Libreville un accord de paix et de cessez-le-feu avec l’Armée Populaire pour la Restauration de la Démocratie (APRD) a porté à sa présidence fin mars dernier l'ancien ministre de la Défense Jean-Jacques Demafouth.