Les aires protégées de Dzanga-Sangha (APDS) font partie des forêts de la plaine du Nord-Ouest de la République du Congo et de l’extrême Sud-Ouest de la République Centrafricaine dans la préfecture de Yobé-Sangha d’après les informations que la Rédaction a recueillies lors de la cérémonie de la signature de ladite convention.
A la suite des recherches que la Rédaction a effectuées, il ressort que ces aires contiennent des nombreuses clairières forestières aux sols riches en minéraux et demeurent l’un des derniers refuges fauniques des espèces telles que l’éléphant de foret et le gorille de plaine occidental.
Il est nécessaire que le Gouvernement accorde une zone de chasse communautaire à la population riveraine des aires protégées de Dzanga-Sangha(APDS) afin de permettre à celle-ci de trouver ses aliments essentiels pour sa survie a dit entre autres Gervais Pamongui, directeur adjoint des APDS lors de la présentation de ce projet.
« La zone de chasse communautaire a une superficie de 491 km2 prévue dans la loi n°90.018 portant création de la réserve, et sa gestion définie par l’arrêté n°057 du 10 décembre 2004 fixant les limites et la vocation de la zone de chasse communautaire. La zone de chasse communautaire est repartie en plusieurs secteurs dans lesquels les activités humaines se font selon le plan simple de gestion mis à la disposition des autochtones » a-t-il poursuivi.
Le Plan Simple de Gestion (PSG) de la zone de chasse communautaire est un document qui prend en compte les solutions préconisées suite à plusieurs rencontres entre les populations riveraines des aires protégées de Dzanga-Sangha (APDS) et les représentants du Gouvernement centrafricain faut-il le rappeler.
« Les solutions préconisées par le diagnostic participatif qui ont abouti au processus d’élaboration du Plan Simple de Gestion(PSG) ont prévu de promouvoir la sensibilisation, de mettre en place un comité de gestion représenté par les communautés de chaque village, de rouvrir les limites des layons du parc, du pré-parc et de la bande culturale tous les trois mois, de créer une chambre froide, de faciliter l’écoulement des produits agricoles sur le marché, de créer diverses activités pour préoccuper les jeunes, et d’instaurer la fermeture temporaire de la chasse pour le repos biologiques des espèces » a précisé Gervais Pamongui, directeur adjoint des APDS dans sa présentation.
« Je suis très heureux, au nom du comité communautaire de la zone de chasse communautaire des aires protégées de Dzanga-Sangha de Bayanga, de signer ce document qui nous concède un espace dans lequel nous les enfants de Bayanga pourront-nous nous nourrir. Je demande au Gouvernement et aux Partenaires de soutenir ce projet, car nous les enfants de Yobé Sangha sommes les premiers conservateurs de nos forêts » a dit dans son mot de remerciement Amédée Sakoma.
« La question de la gouvernance des ressources naturelles en général et celle du secteur de la faune et des aires protégées en particulier est au centre de la politique nationale de la République Centrafricaine, du Gouvernement de la République centrafricaine que dirige le Premier ministre Felix MOLOUA sous le leadership de son Excellence Professeur Faustin Archange TOUADERA Président de la République» a déclaré le ministre Gervais MBATA.
« Le complexe des aires protégées de Dzanga Sanga de bayanga a été créé en 1990 et constitue une composante essentielle du complexe Tri-Nationale de la Sangha inscrit en Juin 2012 sur la liste du patrimoine mondiale du l’UNESCO » a rappelé le ministre des eaux forets chasse et pêches.
Notons que le Tri-National est le fruit d’un véritable partenariat entre acteurs publics et privés, et en tant que fonds fiduciaire pour l’environnement créé en 2007, et a pour objectif de contribuer au financement durable d’activités de conservation et d’écodéveloppement au sein du complexe transfrontalier qui est devenu un bien naturel du patrimoine mondial au Cameroun, en République du Congo et en République Centrafricaine.
« La création des zones de chasse communautaire de Bayanga et l’élaboration de son Plan Simple de Gestion s’aligne parfaitement des stratégiques prioritaire du nouveau Plan National du Développement (PND) pour la période 2024-2028 de la République Centrafricaine qui vise un développement durable et inclusif avec une implication active de toutes les parties prenantes notamment les population locale et autochtone» a conclu le ministre.
«Le gouvernement a intégré dans une série de textes légaux et élémentaires, les questions de gestions participatives des ressources forestières, l’élaboration de concept de gestion comme outil de gestion participative des espaces à vocation communautaire durable. Il s’agit entre autre de la loi n°08. 22 portant le code forestier de la République Centrafricaine, de la loi n°20.026 portant code de gestion de code des aires protégées de la République Centrafricaine et du décret n° 15.463 fixant les modalités d’attribution et des gestions des forets communautaires en RCA. Ces documents définissent dans le temps et dans l’espace les conditions d’utilisation dont les communautés attendent faire usage pour gérer durablement les ressources naturelles de leurs zones ou territoires attribués par l’administration forestière» a-t-il ajouté à sa conclusion.
A la suite des recherches que la Rédaction a effectuées, il ressort que ces aires contiennent des nombreuses clairières forestières aux sols riches en minéraux et demeurent l’un des derniers refuges fauniques des espèces telles que l’éléphant de foret et le gorille de plaine occidental.
Il est nécessaire que le Gouvernement accorde une zone de chasse communautaire à la population riveraine des aires protégées de Dzanga-Sangha(APDS) afin de permettre à celle-ci de trouver ses aliments essentiels pour sa survie a dit entre autres Gervais Pamongui, directeur adjoint des APDS lors de la présentation de ce projet.
« La zone de chasse communautaire a une superficie de 491 km2 prévue dans la loi n°90.018 portant création de la réserve, et sa gestion définie par l’arrêté n°057 du 10 décembre 2004 fixant les limites et la vocation de la zone de chasse communautaire. La zone de chasse communautaire est repartie en plusieurs secteurs dans lesquels les activités humaines se font selon le plan simple de gestion mis à la disposition des autochtones » a-t-il poursuivi.
Le Plan Simple de Gestion (PSG) de la zone de chasse communautaire est un document qui prend en compte les solutions préconisées suite à plusieurs rencontres entre les populations riveraines des aires protégées de Dzanga-Sangha (APDS) et les représentants du Gouvernement centrafricain faut-il le rappeler.
« Les solutions préconisées par le diagnostic participatif qui ont abouti au processus d’élaboration du Plan Simple de Gestion(PSG) ont prévu de promouvoir la sensibilisation, de mettre en place un comité de gestion représenté par les communautés de chaque village, de rouvrir les limites des layons du parc, du pré-parc et de la bande culturale tous les trois mois, de créer une chambre froide, de faciliter l’écoulement des produits agricoles sur le marché, de créer diverses activités pour préoccuper les jeunes, et d’instaurer la fermeture temporaire de la chasse pour le repos biologiques des espèces » a précisé Gervais Pamongui, directeur adjoint des APDS dans sa présentation.
« Je suis très heureux, au nom du comité communautaire de la zone de chasse communautaire des aires protégées de Dzanga-Sangha de Bayanga, de signer ce document qui nous concède un espace dans lequel nous les enfants de Bayanga pourront-nous nous nourrir. Je demande au Gouvernement et aux Partenaires de soutenir ce projet, car nous les enfants de Yobé Sangha sommes les premiers conservateurs de nos forêts » a dit dans son mot de remerciement Amédée Sakoma.
« La question de la gouvernance des ressources naturelles en général et celle du secteur de la faune et des aires protégées en particulier est au centre de la politique nationale de la République Centrafricaine, du Gouvernement de la République centrafricaine que dirige le Premier ministre Felix MOLOUA sous le leadership de son Excellence Professeur Faustin Archange TOUADERA Président de la République» a déclaré le ministre Gervais MBATA.
« Le complexe des aires protégées de Dzanga Sanga de bayanga a été créé en 1990 et constitue une composante essentielle du complexe Tri-Nationale de la Sangha inscrit en Juin 2012 sur la liste du patrimoine mondiale du l’UNESCO » a rappelé le ministre des eaux forets chasse et pêches.
Notons que le Tri-National est le fruit d’un véritable partenariat entre acteurs publics et privés, et en tant que fonds fiduciaire pour l’environnement créé en 2007, et a pour objectif de contribuer au financement durable d’activités de conservation et d’écodéveloppement au sein du complexe transfrontalier qui est devenu un bien naturel du patrimoine mondial au Cameroun, en République du Congo et en République Centrafricaine.
« La création des zones de chasse communautaire de Bayanga et l’élaboration de son Plan Simple de Gestion s’aligne parfaitement des stratégiques prioritaire du nouveau Plan National du Développement (PND) pour la période 2024-2028 de la République Centrafricaine qui vise un développement durable et inclusif avec une implication active de toutes les parties prenantes notamment les population locale et autochtone» a conclu le ministre.
«Le gouvernement a intégré dans une série de textes légaux et élémentaires, les questions de gestions participatives des ressources forestières, l’élaboration de concept de gestion comme outil de gestion participative des espaces à vocation communautaire durable. Il s’agit entre autre de la loi n°08. 22 portant le code forestier de la République Centrafricaine, de la loi n°20.026 portant code de gestion de code des aires protégées de la République Centrafricaine et du décret n° 15.463 fixant les modalités d’attribution et des gestions des forets communautaires en RCA. Ces documents définissent dans le temps et dans l’espace les conditions d’utilisation dont les communautés attendent faire usage pour gérer durablement les ressources naturelles de leurs zones ou territoires attribués par l’administration forestière» a-t-il ajouté à sa conclusion.
