« L’objectif visé par la signature de ce pacte est d’aboutir à un consensus autour des stratégies définies par le gouvernement en vue de l’élaboration du Programme National d’Investissement Agricole (PNIA) qui sera le catalyseur des ressources financières pour un développement durable et de sécurité alimentaire », a déclaré le Premier ministre Faustin Archange Touadéra.
Le chef du gouvernement sortant a fait savoir que « la signature de ce pacte relatif au PDDAA est une étape importante du processus que le gouvernement centrafricain a engagé depuis l’année dernière, car, elle permettra de renforcer et de mobiliser les ressources physiques et financières pour donner aux populations rurales un accès équitable aux terres, aux connaissances, aux informations et aux technologies nécessaires à l’amélioration de condition et de performance agricole ».
« L’engagement du gouvernement de la République Centrafricaine dans la mise en œuvre du processus fait du secteur rural l’élément moteur du développement économique du pays pour la réduction de la pauvreté, de la lutte contre l’insécurité alimentaire et la vulnérabilité, la croissance économique et la reconstruction nationale », a conclu le chef du gouvernement.
Le Coordonnateur résident et humanitaire du système des Nations Unies, Bo Schack, a lancé un appel aux partenaires au développement et aux autres intervenants en Centrafrique à se joindre à ce processus et à apporter un appui technique et financier au programme agricole de la République Centrafricaine à travers le PDDAA.
« Cela permettra de répondre au besoin de plus de 70 % de la population centrafricaine vivant en milieu rural. Cette population, a poursuivi M. Bo Schack, subsiste avec le revenu tiré de l’agriculture et demeure majoritairement dans l’insécurité alimentaire et l’extrême pauvreté ».
Selon le chef du projet FS-PDDAA-CEEAC, Joël Béassem, le pacte national du PDDAA qui vient d’être signé par les parties prenantes et les acteurs clés du pays permet de « prouver l’engagement autour d’une vision partagée et des stratégies émergeantes afin d’œuvrer collectivement à la mise en œuvre du programme de développement agricole ».
« C’est un cadre de dialogue permanent entre acteurs en vue de la mise en œuvre consensuelle des programmes dans l’optique d’améliorer la productivité, la compétitivité agricole afin de réduire l’insécurité alimentaire », a-t-il précisé.
Il convient de noter que la République Centrafricaine est le troisième pays sur les dix que compte la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC) à signer son pacte national-PDDAA après le Burundi et la République Démocratique du Congo.
Le chef du gouvernement sortant a fait savoir que « la signature de ce pacte relatif au PDDAA est une étape importante du processus que le gouvernement centrafricain a engagé depuis l’année dernière, car, elle permettra de renforcer et de mobiliser les ressources physiques et financières pour donner aux populations rurales un accès équitable aux terres, aux connaissances, aux informations et aux technologies nécessaires à l’amélioration de condition et de performance agricole ».
« L’engagement du gouvernement de la République Centrafricaine dans la mise en œuvre du processus fait du secteur rural l’élément moteur du développement économique du pays pour la réduction de la pauvreté, de la lutte contre l’insécurité alimentaire et la vulnérabilité, la croissance économique et la reconstruction nationale », a conclu le chef du gouvernement.
Le Coordonnateur résident et humanitaire du système des Nations Unies, Bo Schack, a lancé un appel aux partenaires au développement et aux autres intervenants en Centrafrique à se joindre à ce processus et à apporter un appui technique et financier au programme agricole de la République Centrafricaine à travers le PDDAA.
« Cela permettra de répondre au besoin de plus de 70 % de la population centrafricaine vivant en milieu rural. Cette population, a poursuivi M. Bo Schack, subsiste avec le revenu tiré de l’agriculture et demeure majoritairement dans l’insécurité alimentaire et l’extrême pauvreté ».
Selon le chef du projet FS-PDDAA-CEEAC, Joël Béassem, le pacte national du PDDAA qui vient d’être signé par les parties prenantes et les acteurs clés du pays permet de « prouver l’engagement autour d’une vision partagée et des stratégies émergeantes afin d’œuvrer collectivement à la mise en œuvre du programme de développement agricole ».
« C’est un cadre de dialogue permanent entre acteurs en vue de la mise en œuvre consensuelle des programmes dans l’optique d’améliorer la productivité, la compétitivité agricole afin de réduire l’insécurité alimentaire », a-t-il précisé.
Il convient de noter que la République Centrafricaine est le troisième pays sur les dix que compte la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC) à signer son pacte national-PDDAA après le Burundi et la République Démocratique du Congo.