Cet accord de partenariat volontaire vise à établir un dispositif pour garantir les produits du bois exportés de la République Centrafricaine vers l’Union Européenne.
« Avec cet accord, c’est une avancée significative que notre pays vient d’accomplir en matière de fiabilité et de sécurisation de la production forestière, notamment par la définition de la légalité d’un système national de vérification de la légalité et de la traçabilité », a déclaré le premier ministre, Faustin Archange Touadéra.
Le chef du gouvernement, Faustin Archange Touadéra a expliqué que « la République Centrafricaine soucieuse des enjeux économiques et environnementaux de son secteur forestier, s’est engagée depuis plusieurs décennies dans une politique de promotion de la gestion durable de son patrimoine forestier par le biais de plusieurs réformes et cet accord y contribuera ».
« Notre pays entend démontrer par la conclusion de cet accord tout son intérêt dans une gestion saine efficace et productive de son secteur forestier national afin de faire reconnaitre le bois centrafricain un produit fiable prêt à affronter les exigences sans cessent croissantes des consommateurs dans l’espace économique européen », a fait savoir le chef du gouvernement, Archange Faustin Touadéra.
Par ailleurs, le Premier ministre, Archange Touadéra Touadéra a conclu que « cet accord contribuera efficacement à renforcer encore une fois le climat des affaires surtout les investissements dans le secteur forestier centrafricain ».
« L’exploitation forestière illégale et le commerce qui en résulte sont responsables de dommages écologiques importants dans le pays en voie de développement et appauvrissent les communautés rurales qui dépendent des forêts pour leur survie. Ils coûtent aux gouvernements de ces pays approximativement 10 à 15 milliards d’euros en pertes de revenus », a relevé le chef de Délégation de l’Union Européenne, M. Guy Samzun.
Il a souligné que « l’accord FLEGT propose dès lors des mesures à accroître la capacité des pays en voie de développement à contrôler l’exploitation illégale des forêts et à réduire le commerce du bois illégal entre ces pays et l’Union européenne.
« La République Centrafricaine s’engage dès lors à ce que toutes les cargaisons de bois à destination de l’Europe soient accompagnées par une autorisation FLEGT dès 2014. Les autorisations certifieront que les cargaisons sont légales », a précisé l’ambassadeur Guy Samzun.
Il faut rappeler que les travaux de négociation ont été menés grâce aux multiples atouts d’ordre législatifs et réglementaires dont disposent déjà la République Centrafricaine, à travers les différentes réformes effectuées dans le secteur forestier, telles que la promulgation d’un nouveau code forestier le 17 octobre 2008.
« Avec cet accord, c’est une avancée significative que notre pays vient d’accomplir en matière de fiabilité et de sécurisation de la production forestière, notamment par la définition de la légalité d’un système national de vérification de la légalité et de la traçabilité », a déclaré le premier ministre, Faustin Archange Touadéra.
Le chef du gouvernement, Faustin Archange Touadéra a expliqué que « la République Centrafricaine soucieuse des enjeux économiques et environnementaux de son secteur forestier, s’est engagée depuis plusieurs décennies dans une politique de promotion de la gestion durable de son patrimoine forestier par le biais de plusieurs réformes et cet accord y contribuera ».
« Notre pays entend démontrer par la conclusion de cet accord tout son intérêt dans une gestion saine efficace et productive de son secteur forestier national afin de faire reconnaitre le bois centrafricain un produit fiable prêt à affronter les exigences sans cessent croissantes des consommateurs dans l’espace économique européen », a fait savoir le chef du gouvernement, Archange Faustin Touadéra.
Par ailleurs, le Premier ministre, Archange Touadéra Touadéra a conclu que « cet accord contribuera efficacement à renforcer encore une fois le climat des affaires surtout les investissements dans le secteur forestier centrafricain ».
« L’exploitation forestière illégale et le commerce qui en résulte sont responsables de dommages écologiques importants dans le pays en voie de développement et appauvrissent les communautés rurales qui dépendent des forêts pour leur survie. Ils coûtent aux gouvernements de ces pays approximativement 10 à 15 milliards d’euros en pertes de revenus », a relevé le chef de Délégation de l’Union Européenne, M. Guy Samzun.
Il a souligné que « l’accord FLEGT propose dès lors des mesures à accroître la capacité des pays en voie de développement à contrôler l’exploitation illégale des forêts et à réduire le commerce du bois illégal entre ces pays et l’Union européenne.
« La République Centrafricaine s’engage dès lors à ce que toutes les cargaisons de bois à destination de l’Europe soient accompagnées par une autorisation FLEGT dès 2014. Les autorisations certifieront que les cargaisons sont légales », a précisé l’ambassadeur Guy Samzun.
Il faut rappeler que les travaux de négociation ont été menés grâce aux multiples atouts d’ordre législatifs et réglementaires dont disposent déjà la République Centrafricaine, à travers les différentes réformes effectuées dans le secteur forestier, telles que la promulgation d’un nouveau code forestier le 17 octobre 2008.