Photo de famille du ministre Kamach (métis avec cravate violette) avec les parlementaires
Cet atelier, organisé par la Coordination climat, a pour but de faire acquérir à une dizaine de parlementaires, membres du bureau de l'Assemblée nationale, présidents des commissions, secrétaires parlementaires et questeurs, des aptitudes et compétences devant leur permettre de mieux comprendre et faire adopter les instruments juridiques liés aux changements climatiques.
Le Ministre Thierry Kamach a émis le vœu que les parlementaires ayant pris part à l'atelier émettent des avis favorables au moment de l'adoption des textes juridiques liés au climat et aux conventions connexes.
Il a rappelé que la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CNUCC), signée à Rio de Janeiro en juin 1992, est entrée en vigueur presque deux ans plus tard, en mars 1994. La République Centrafricaine y a adhéré en mars 1995.
Toutes ces démarches, selon Thierry Kamach, visent à stabiliser les concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère à un niveau qui puisse empêcher toute perturbation dangereuse du système climatique causée par les activités humaines et surtout, maintenir la température autour de 2° Celsius.
Le clou de toutes les démarches en ce qui concerne les changements climatiques, a précisé le membre du gouvernement, a été l'Accord de Paris du 12 décembre 2015.
Par rapport à l'accord de Paris, il faut relever qu'en avril 2016, le Chef de l'Etat Faustin-Archange Touadéra avait engagé la République Centrafricaine dans ce processus, en signant ledit accord à New York.
Il est question, derrière cette adhésion, de faire bénéficier à la République Centrafricaine des programmes et projets d'appui relatifs à l'atténuation, à l'adaptation, au financement, au transfert de technologie, à la formation et à la transparence des mesures.
L'accord de Paris peut également provoquer en République Centrafricaine l'emploi des jeunes, la prise en compte des femmes, des communautés locales et autochtones, etc.
Thierry Kamach a été catégorique : « la République Centrafricaine n'a pas de responsabilité historique dans l'émission de gaz à effet de serre », une manière d’avouer que le pays « pèse peu dans le bilan carbone malgré la dégradation des forêts ».
Répondant aux députés après son exposé, le coordonnateur expert national de la Coordination Climat, Igor Gildas Tola Kogadou, a souligné que « la République Centrafricaine est surtout victime des conséquences du changement climatique, avec des dérèglements des saisons, les sécheresses et les inondations, ce qui affecte quotidiennement la vie des citoyens ».
Les parlementaires, considérant qu’ils ont été sensibles au problème, ont suggéré que les textes sur l’environnement soient rapidement élaborés et se sont dits disposés à l’adopter immédiatement.
L’atelier des parlementaires a bénéficié de l’appui technique et financier du Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM) et du Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE).
Le Ministre Thierry Kamach a émis le vœu que les parlementaires ayant pris part à l'atelier émettent des avis favorables au moment de l'adoption des textes juridiques liés au climat et aux conventions connexes.
Il a rappelé que la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CNUCC), signée à Rio de Janeiro en juin 1992, est entrée en vigueur presque deux ans plus tard, en mars 1994. La République Centrafricaine y a adhéré en mars 1995.
Toutes ces démarches, selon Thierry Kamach, visent à stabiliser les concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère à un niveau qui puisse empêcher toute perturbation dangereuse du système climatique causée par les activités humaines et surtout, maintenir la température autour de 2° Celsius.
Le clou de toutes les démarches en ce qui concerne les changements climatiques, a précisé le membre du gouvernement, a été l'Accord de Paris du 12 décembre 2015.
Par rapport à l'accord de Paris, il faut relever qu'en avril 2016, le Chef de l'Etat Faustin-Archange Touadéra avait engagé la République Centrafricaine dans ce processus, en signant ledit accord à New York.
Il est question, derrière cette adhésion, de faire bénéficier à la République Centrafricaine des programmes et projets d'appui relatifs à l'atténuation, à l'adaptation, au financement, au transfert de technologie, à la formation et à la transparence des mesures.
L'accord de Paris peut également provoquer en République Centrafricaine l'emploi des jeunes, la prise en compte des femmes, des communautés locales et autochtones, etc.
Thierry Kamach a été catégorique : « la République Centrafricaine n'a pas de responsabilité historique dans l'émission de gaz à effet de serre », une manière d’avouer que le pays « pèse peu dans le bilan carbone malgré la dégradation des forêts ».
Répondant aux députés après son exposé, le coordonnateur expert national de la Coordination Climat, Igor Gildas Tola Kogadou, a souligné que « la République Centrafricaine est surtout victime des conséquences du changement climatique, avec des dérèglements des saisons, les sécheresses et les inondations, ce qui affecte quotidiennement la vie des citoyens ».
Les parlementaires, considérant qu’ils ont été sensibles au problème, ont suggéré que les textes sur l’environnement soient rapidement élaborés et se sont dits disposés à l’adopter immédiatement.
L’atelier des parlementaires a bénéficié de l’appui technique et financier du Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM) et du Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE).