Ce lac salé doit sa renommée à la teinte originale et changeante de son eau, mais aussi au rallye Paris-Dakar dont il constituait l'ultime étape.
La couleur rose du lac est due à l'eau très salée (380 grammes par litre) et à une cyanobactérie, organisme microscopique qui fabrique un pigment rouge pour résister à la concentration de sel.
Le lac de 3 km² fait vivre des milliers de personnes des villages environnants par l'extraction du sel qui débute depuis les années 1970.
Un dossier a été déposé le 18 novembre 2005 auprès de l'UNESCO en vue de son inscription sur la liste du patrimoine mondial.