Grande figure emblématique, feu David Dacko était né le 24 Mars 1930 à Bouchia dans la Sous-Préfecture de Mbaïki (sud), et s’était éteint le 20 Novembre 2003 à Yaoundé au Cameroun des suites de maladie.
Jeune cadre de l'enseignement après une brillante formation à Brazzaville, et un début d'activités professionnelles à Bangui et en provinces, il fut très vite séduit par la politique, et fut élu député, membre de l’Assemblée territoriale de l’Oubangui-Chari et plusieurs fois ministre dans les tous premiers gouvernements formés par Barthélémy Boganda.
Il prend la reine du pouvoir après la mort de Barthélémy Boganda en 1959 lorsque le directoire du Parti M E S A N par un vote, le désigne Président du Conseil du Gouvernement.
Ayant à cœur le principe de « malheur à l’homme seul », David Dacko inscrit dans ses actions futures, la formation des cadres centrafricains pour l’émergence de la République et surtout l’émancipation de l’homme centrafricain.
Sa grande vision politique va beaucoup tourner autour de la formation des ressources humaines, de l'éducation, de la santé, du logement, de l’économie et de la diplomatie qui constituent les piliers de la politique du Père Fondateur de la République Centrafricaine, Barthélémy Boganda qui sont les 5 verbes du Parti le M E S A N (instruire, soigner, loger, nourrir et vêtir).
Au plan économique, le promoteur de « Kwa ti Kodoro (travailler pour le pays) », s’est vite rendu compte que, c’est par l’Agriculture et selon les spécificités de chaque région, qu’il pourra construire sa toute jeune nation, la République Centrafricaine, qu'il fut le tout premier Président.
C'est David Dacko qui a procédé à l’aménagement et à l'extension de certains quartiers de Bangui , à la construction des centres de santé dans certains quartier de Bangui et en provinces, des collèges et lycées dans le pays, dans le souci de transformer la vie sociale centrafricaine.
C’est pendant son second régime de 1979 à 1981 que David DACKO va procéder au relèvement du salaire interprofessionnel garanti (SMIG) et le salaire minimum garantit (SMAG) des travailleur centrafricains tant du secteur public que privé.
Dans le souci de préserver la paix sociale et le vivre ensemble, le président David DACKO remet le pouvoir, sans effusion de sang, le 15 septembre 1981 à l’Armée Centrafricaine.
Rappelons que les prouesses de feu David DACKO lui ont valu de nombreuses distinctions honorifiques entre autres, Commandeur de l’Ordre d'Afrique centrale de l’agriculture (1963), Commandeur de l’Ordre Centrafricain des palmes académiques (1964).
Jeune cadre de l'enseignement après une brillante formation à Brazzaville, et un début d'activités professionnelles à Bangui et en provinces, il fut très vite séduit par la politique, et fut élu député, membre de l’Assemblée territoriale de l’Oubangui-Chari et plusieurs fois ministre dans les tous premiers gouvernements formés par Barthélémy Boganda.
Il prend la reine du pouvoir après la mort de Barthélémy Boganda en 1959 lorsque le directoire du Parti M E S A N par un vote, le désigne Président du Conseil du Gouvernement.
Ayant à cœur le principe de « malheur à l’homme seul », David Dacko inscrit dans ses actions futures, la formation des cadres centrafricains pour l’émergence de la République et surtout l’émancipation de l’homme centrafricain.
Sa grande vision politique va beaucoup tourner autour de la formation des ressources humaines, de l'éducation, de la santé, du logement, de l’économie et de la diplomatie qui constituent les piliers de la politique du Père Fondateur de la République Centrafricaine, Barthélémy Boganda qui sont les 5 verbes du Parti le M E S A N (instruire, soigner, loger, nourrir et vêtir).
Au plan économique, le promoteur de « Kwa ti Kodoro (travailler pour le pays) », s’est vite rendu compte que, c’est par l’Agriculture et selon les spécificités de chaque région, qu’il pourra construire sa toute jeune nation, la République Centrafricaine, qu'il fut le tout premier Président.
C'est David Dacko qui a procédé à l’aménagement et à l'extension de certains quartiers de Bangui , à la construction des centres de santé dans certains quartier de Bangui et en provinces, des collèges et lycées dans le pays, dans le souci de transformer la vie sociale centrafricaine.
C’est pendant son second régime de 1979 à 1981 que David DACKO va procéder au relèvement du salaire interprofessionnel garanti (SMIG) et le salaire minimum garantit (SMAG) des travailleur centrafricains tant du secteur public que privé.
Dans le souci de préserver la paix sociale et le vivre ensemble, le président David DACKO remet le pouvoir, sans effusion de sang, le 15 septembre 1981 à l’Armée Centrafricaine.
Rappelons que les prouesses de feu David DACKO lui ont valu de nombreuses distinctions honorifiques entre autres, Commandeur de l’Ordre d'Afrique centrale de l’agriculture (1963), Commandeur de l’Ordre Centrafricain des palmes académiques (1964).