Cette conférence de presse avait pour objectif d’annoncer la réorientation du mouvement antibalaka pour en faire un parti politique au sein duquel devront se rassembler les chrétiens et les musulmans.
M. Sébastien Wénézoui a fait comprendre que « la République Centrafricaine a connu de graves fissures sociales qui ont créé la division et la haine entre ses filles et ses fils alors qu’ils vivaient avant la crise ensemble comme des enfants d’un même lit. C’est pourquoi, le moment est venu pour tourner la page sombre de l’histoire en engageant les Centrafricains, ex-Séléka d’une part et antibalaka de l’autre, sur le chemin de la paix et de la reconstruction de la République Centrafricaine ».
Il a soutenu que « les divergences culturelles ou religieuses entre les filles et les fils de la Centrafrique ne doivent plus constituer un obstacle à la paix mais plutôt à une richesse ».
Il a demandé aux chrétiens et aux musulmans d’intégrer dès l’assemblée générale constitutive le parti, dont les statuts et règlement intérieur sont déjà élaborés.
M. Sébastien Wénézoui a formulé un plaidoyer auprès du gouvernement pour doter les antibalaka d’un véhicule leur permettant de sillonner le pays afin de professer la paix, conformément à l’accord de cessation des hostilités de Brazzaville du 24 juillet dernier et qui est fréquemment violé, faute d’information auprès des ex-combattants.
Le désormais président de la plateforme devant aboutir à la création d’un parti politique dit des patriotes, M. Sébastien Wénézoui, a exprimé sa gratitude à l’endroit des forces internationales, à savoir : la Sangaris et les forces de la MISCA, devenue forces onusienne depuis le 15 septembre dernier, pour leur contribution ayant contribué à baisser les tensions en République Centrafricaine.
M. Sébastien Wénézoui a fait comprendre que « la République Centrafricaine a connu de graves fissures sociales qui ont créé la division et la haine entre ses filles et ses fils alors qu’ils vivaient avant la crise ensemble comme des enfants d’un même lit. C’est pourquoi, le moment est venu pour tourner la page sombre de l’histoire en engageant les Centrafricains, ex-Séléka d’une part et antibalaka de l’autre, sur le chemin de la paix et de la reconstruction de la République Centrafricaine ».
Il a soutenu que « les divergences culturelles ou religieuses entre les filles et les fils de la Centrafrique ne doivent plus constituer un obstacle à la paix mais plutôt à une richesse ».
Il a demandé aux chrétiens et aux musulmans d’intégrer dès l’assemblée générale constitutive le parti, dont les statuts et règlement intérieur sont déjà élaborés.
M. Sébastien Wénézoui a formulé un plaidoyer auprès du gouvernement pour doter les antibalaka d’un véhicule leur permettant de sillonner le pays afin de professer la paix, conformément à l’accord de cessation des hostilités de Brazzaville du 24 juillet dernier et qui est fréquemment violé, faute d’information auprès des ex-combattants.
Le désormais président de la plateforme devant aboutir à la création d’un parti politique dit des patriotes, M. Sébastien Wénézoui, a exprimé sa gratitude à l’endroit des forces internationales, à savoir : la Sangaris et les forces de la MISCA, devenue forces onusienne depuis le 15 septembre dernier, pour leur contribution ayant contribué à baisser les tensions en République Centrafricaine.