Le Ministre camerounais des Finances, Alamine Ousmane Mey
L’objectif de cette réunion est de réfléchir sur les impacts négatifs des chocs exogènes et proposer des réponses innovantes pour faire face aux crises actuelles et futures et surtout conduire l’Afrique vers son émergence.
Alamine Ousmane Mey a rassuré les délégués à la réunion que leurs précieuses contributions sont d’importantes pistes de solution à explorer, surtout que ces propositions ne sont pas très loin des orientations formulées par les Chefs d’Etat de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC), lors de leur sommet tenu à Yaoundé, le 23 décembre dernier.
Il a souligné que leurs conclusions vont donner « une dimension nouvelle relative au rôle des banques centrales quant à la stabilisation monétaire. C’est pourquoi il a admis que les Banques centrales ont un rôle important à jouer quant à la prévention et à la gestion des externalités liées aux chocs exogènes susceptibles de conduire à des crises encore plus graves.
Il a préconisé, pour juguler les chocs exogènes, " la mise en œuvre d’une gestion efficace de la crise actuelle qui affecte les Etats de la communauté".
Alamine Ousmane Mey a également émis le vœu que les médias « diffusent à grande échelle les recommandations des travaux de la réunion de haut niveau de la BEAC sur les stratégies de sortie de crise que les banques centrales pourraient préconiser face aux chocs exogènes ».
Il s’est dit convaincu « que le nouveau gouvernement de la Banque centrale, qui sera dirigé par Abbas Mahamat Tolli, successeur du gouverneur sortant, Lucas Abaga Nchama, saura mettre à profit les recommandations issues des travaux de la réunion de haut niveau de Yaoundé ».
Alamine Ousmane Mey a rassuré les délégués à la réunion que leurs précieuses contributions sont d’importantes pistes de solution à explorer, surtout que ces propositions ne sont pas très loin des orientations formulées par les Chefs d’Etat de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC), lors de leur sommet tenu à Yaoundé, le 23 décembre dernier.
Il a souligné que leurs conclusions vont donner « une dimension nouvelle relative au rôle des banques centrales quant à la stabilisation monétaire. C’est pourquoi il a admis que les Banques centrales ont un rôle important à jouer quant à la prévention et à la gestion des externalités liées aux chocs exogènes susceptibles de conduire à des crises encore plus graves.
Il a préconisé, pour juguler les chocs exogènes, " la mise en œuvre d’une gestion efficace de la crise actuelle qui affecte les Etats de la communauté".
Alamine Ousmane Mey a également émis le vœu que les médias « diffusent à grande échelle les recommandations des travaux de la réunion de haut niveau de la BEAC sur les stratégies de sortie de crise que les banques centrales pourraient préconiser face aux chocs exogènes ».
Il s’est dit convaincu « que le nouveau gouvernement de la Banque centrale, qui sera dirigé par Abbas Mahamat Tolli, successeur du gouverneur sortant, Lucas Abaga Nchama, saura mettre à profit les recommandations issues des travaux de la réunion de haut niveau de Yaoundé ».