« Les résultats obtenus en matière de finances publiques sont encourageants, les recettes ont augmenté comme prévu et les dépenses ont été gérées avec prudence », a fait remarquer M. Pétrin dans la déclaration qui sanctionne la fin de la mission.
« Les réformes structurelles ont bien progressé, notamment en ce qui concerne la mise en œuvre de la formule de détermination automatique des prix des produits pétroliers qui mettra le budget à l’abri des fluctuation des cours mondiaux du pétrole et permettra d’allouer des ressources aux dépenses prioritaires », a-t-il ajouté.
Selon M. Pétrin, l’activité économique a résisté aux perturbations dans la fourniture de l’électricité, à la hausse de l’inflation et au ralentissement des principales exportations, tandis que le Produit intérieur brut (Pib) de l’année 2008 est de 3,5%.
« Le programme pour 2008-2009 vise à accélérer la croissance en la portant à 4,5% environ, tout en veillant à la stabilité du cadre macroéconomique et budgétaire », a-t-il indiqué, ajoutant que les réformes structurelles de l’administration des recettes et de la gestion des finances publiques devraient également soutenir l’exécution budgétaire.
Pour M. Martin Pétrin, en fonction des progrès réalisés par le gouvernement en 2008, les priorités du budget 2009 devraient consister à poursuivre l’amélioration de la mobilisation des recettes, corriger les faiblesses financières des grandes entreprises publiques, en particulier dans le secteur de l’énergie, et apurer les arriérés de paiements intérieurs de manière prévisible.
« Les résultats obtenus dans le cadre de la mise en œuvre du programme appuyé par la Facilité pour la réduction de la pauvreté et la croissance (Frpc), ont été globalement satisfaisants et, sous réserve de l’approbation de la direction du FMI et de la poursuite de la mise en œuvre des politiques visées dans le programme, l’examen de la troisième revue du programme de la République Centrafricaine devrait être inscrit à l’ordre du jour du Conseil d’administration du FMI en novembre/décembre 2008 », a conclu M. Martin Pétrin.
« Les réformes structurelles ont bien progressé, notamment en ce qui concerne la mise en œuvre de la formule de détermination automatique des prix des produits pétroliers qui mettra le budget à l’abri des fluctuation des cours mondiaux du pétrole et permettra d’allouer des ressources aux dépenses prioritaires », a-t-il ajouté.
Selon M. Pétrin, l’activité économique a résisté aux perturbations dans la fourniture de l’électricité, à la hausse de l’inflation et au ralentissement des principales exportations, tandis que le Produit intérieur brut (Pib) de l’année 2008 est de 3,5%.
« Le programme pour 2008-2009 vise à accélérer la croissance en la portant à 4,5% environ, tout en veillant à la stabilité du cadre macroéconomique et budgétaire », a-t-il indiqué, ajoutant que les réformes structurelles de l’administration des recettes et de la gestion des finances publiques devraient également soutenir l’exécution budgétaire.
Pour M. Martin Pétrin, en fonction des progrès réalisés par le gouvernement en 2008, les priorités du budget 2009 devraient consister à poursuivre l’amélioration de la mobilisation des recettes, corriger les faiblesses financières des grandes entreprises publiques, en particulier dans le secteur de l’énergie, et apurer les arriérés de paiements intérieurs de manière prévisible.
« Les résultats obtenus dans le cadre de la mise en œuvre du programme appuyé par la Facilité pour la réduction de la pauvreté et la croissance (Frpc), ont été globalement satisfaisants et, sous réserve de l’approbation de la direction du FMI et de la poursuite de la mise en œuvre des politiques visées dans le programme, l’examen de la troisième revue du programme de la République Centrafricaine devrait être inscrit à l’ordre du jour du Conseil d’administration du FMI en novembre/décembre 2008 », a conclu M. Martin Pétrin.