Cette réunion se tient dans le cadre de l’application des dispositions de la nouvelle Réglementation des Changes et surtout suite au moratoire accordé aux entreprises extractifs exerçant dans le secteur des hydrocarbures et des mines.
La nouvelle Réglementation des Changes mise en oeuvre depuis 2019 devrait concourir à la realisation des objectifs de la politique monétaire commune des Etats membres de la CEMAC et preserver leur équilibre.
Malgré quelques avancées qualifiées de positives, on parle également de quelques difficultés d’adaptation de la nouvelle Réglementatin avec la résistance entre autres au non-respect des modalités d’exécution des opérations de transferts par les établissements de crédits, le non-respect de certaines obligations réglementaires par les compagnies pétrolières et minières en ce qui concerne la domiciliation des exportations, alors que la CEMAC impose le principe de la centralisation des avoirs aux résidents à la BEAC.
Notons que la réunion de Douala qui va regrouper plus de 400 participants entre autres les représentants de la BEAC, de la CEMAC, de la COBAC, les entreprises residentes de la CEMAC opérant dans les secteurs hydrocarbures et des mines, les représentants des ministères des Finances et de la Douane, des Hydrocarbures, des Affaires étrangères, ainsi que les Directeurs nationaux des six (6) pays de la CEMAC, permettra de se rappeler des obligations des entreprises pétrolières et minières à la réglementation des changes, de voir les actions entreprises par la BEAC depuis 2019 en vue de leur mise en conformité et de présenter les attentes de la BEAC à l’optique 2022.
La nouvelle Réglementation des Changes mise en oeuvre depuis 2019 devrait concourir à la realisation des objectifs de la politique monétaire commune des Etats membres de la CEMAC et preserver leur équilibre.
Malgré quelques avancées qualifiées de positives, on parle également de quelques difficultés d’adaptation de la nouvelle Réglementatin avec la résistance entre autres au non-respect des modalités d’exécution des opérations de transferts par les établissements de crédits, le non-respect de certaines obligations réglementaires par les compagnies pétrolières et minières en ce qui concerne la domiciliation des exportations, alors que la CEMAC impose le principe de la centralisation des avoirs aux résidents à la BEAC.
Notons que la réunion de Douala qui va regrouper plus de 400 participants entre autres les représentants de la BEAC, de la CEMAC, de la COBAC, les entreprises residentes de la CEMAC opérant dans les secteurs hydrocarbures et des mines, les représentants des ministères des Finances et de la Douane, des Hydrocarbures, des Affaires étrangères, ainsi que les Directeurs nationaux des six (6) pays de la CEMAC, permettra de se rappeler des obligations des entreprises pétrolières et minières à la réglementation des changes, de voir les actions entreprises par la BEAC depuis 2019 en vue de leur mise en conformité et de présenter les attentes de la BEAC à l’optique 2022.