POLITIQUE
L’objectif de cette rencontre est de finaliser les documents pays exigés pour soutenir l’engagement de haut niveau en faveur de l’éducation sexuelle complète (ESC) et la santé sexuelle et reproductive des adolescents et jeunes (SSRAJ).
Le ministre Moukadas-Nouré a souligné que l’enjeu de cette consultation nationale est de recueillir des recommandations des différentes parties prenantes, afin de renforcer, de vulgariser l’éducation sexuelle complète, aussi, aborder la problématique de l’accès aux services de la santé sexuelle et productive, notamment la prévention, la violence basée sur le genre et la protection des adolescents ainsi que les jeunes.
« Il apparait donc urgent de donner davantage des moyens aux adolescents et aux jeunes pour prendre des décisions éclairées de manière à éviter les grossesses précoces non désirées, et éventuellement prévenir le VIH-SIDA », a fait savoir le Chef du département de l’Education nationale.
La Représentante par intérim de l’UNFPA a salué l’introduction de l’éducation sexuelle complète dans le système éducatif formel et la mise en place d’un groupe de travail technique sur la problématique d’éducation sexuelle complète. Tout en témoignant l’engagement politique fort du gouvernement centrafricain à faire de l’éducation sexuelle complète un outil pour l’amélioration de la santé sexuelle et l’épanouissement des adolescents et jeunes.
Dr. Edwige Adekambi Domingo a réitéré la disponibilité et l’appui de l’UNESCO et de l’UNFPA pour améliorer la santé sexuelle et reproductive des adolescents et jeunes ainsi que l’éducation sexuelle complète en Centrafrique.
Il convient de signaler que cette réunion de consensus de deux jours ayant regroupé une cinquantaine de cadres venus des différents départements concernés, des agences du système des Nations Unies et des ONG, est organisée par le ministère de l’Education nationale avec le concours technique et financier du Fonds des Nations Unies pour la Population.
Le ministre Moukadas-Nouré a souligné que l’enjeu de cette consultation nationale est de recueillir des recommandations des différentes parties prenantes, afin de renforcer, de vulgariser l’éducation sexuelle complète, aussi, aborder la problématique de l’accès aux services de la santé sexuelle et productive, notamment la prévention, la violence basée sur le genre et la protection des adolescents ainsi que les jeunes.
« Il apparait donc urgent de donner davantage des moyens aux adolescents et aux jeunes pour prendre des décisions éclairées de manière à éviter les grossesses précoces non désirées, et éventuellement prévenir le VIH-SIDA », a fait savoir le Chef du département de l’Education nationale.
La Représentante par intérim de l’UNFPA a salué l’introduction de l’éducation sexuelle complète dans le système éducatif formel et la mise en place d’un groupe de travail technique sur la problématique d’éducation sexuelle complète. Tout en témoignant l’engagement politique fort du gouvernement centrafricain à faire de l’éducation sexuelle complète un outil pour l’amélioration de la santé sexuelle et l’épanouissement des adolescents et jeunes.
Dr. Edwige Adekambi Domingo a réitéré la disponibilité et l’appui de l’UNESCO et de l’UNFPA pour améliorer la santé sexuelle et reproductive des adolescents et jeunes ainsi que l’éducation sexuelle complète en Centrafrique.
Il convient de signaler que cette réunion de consensus de deux jours ayant regroupé une cinquantaine de cadres venus des différents départements concernés, des agences du système des Nations Unies et des ONG, est organisée par le ministère de l’Education nationale avec le concours technique et financier du Fonds des Nations Unies pour la Population.
