L’objectif de cette interview est de rappeler les grandes orientations du périple de Aristide-Briand Reboas visant à échanger avec des spécialistes de sécurité et de défense ainsi que des universitaires de France, de Belgique, d’Allemagne et du Brésil au sujet de l’ouvrage qu’il a publié aux éditions ‘L’Harmattan’ et qui est intitulé « Pour une politique de paix en Centrafrique ».
« Le livre ‘Pour une politique de paix en Centrafrique’ est », a fait savoir Aristide-Briand Reboas est également enseigné dans de nombreuses universités en Europe notamment en Sciences politiques.
Evoquant la question de paix, le Président du Parti Chrétien Démocrate a relevé qu’en République Centrafricaine, dans presque toutes les communautés, il existe des expressions pour désigner la paix. D’où sa recommandation consistant pour les Centrafricains de se serrer les coudes « pour dénoncer sinon barrer la route aux actes terroristes, tels que connus dans certains pays africains, comme la Tunisie, le Tchad, le Nigeria, le Cameroun et le Tchad ».
Dans le même ordre d’idée, Aristide-Briand Reboas a conseillé des solutions endogènes aux problèmes centrafricains plutôt que de recourir aux solutions exogènes, ou d’aller chercher des solutions aux problèmes centrafricains à l’extérieur.
Il a sollicité la volonté des centrafricains, pour accompagner le nouveau président de la République Centrafricaine, Faustin-Archange Touadéra.
« Le livre ‘Pour une politique de paix en Centrafrique’ est », a fait savoir Aristide-Briand Reboas est également enseigné dans de nombreuses universités en Europe notamment en Sciences politiques.
Evoquant la question de paix, le Président du Parti Chrétien Démocrate a relevé qu’en République Centrafricaine, dans presque toutes les communautés, il existe des expressions pour désigner la paix. D’où sa recommandation consistant pour les Centrafricains de se serrer les coudes « pour dénoncer sinon barrer la route aux actes terroristes, tels que connus dans certains pays africains, comme la Tunisie, le Tchad, le Nigeria, le Cameroun et le Tchad ».
Dans le même ordre d’idée, Aristide-Briand Reboas a conseillé des solutions endogènes aux problèmes centrafricains plutôt que de recourir aux solutions exogènes, ou d’aller chercher des solutions aux problèmes centrafricains à l’extérieur.
Il a sollicité la volonté des centrafricains, pour accompagner le nouveau président de la République Centrafricaine, Faustin-Archange Touadéra.