Cet atelier a pour objectif d’informer les acteurs impliqués dans le processus de réduction des émissions de gaz à effet de serre et aux changements climatiques sur le nouveau régime du climat ainsi que la mise en œuvre de la Convention Cadre des Nations Unies sur le Changement Climatique (CCNUCC).
En outre, il a permis de préparer les négociations qui se tiendront à Durban en Afrique du Sud et ailleurs.
Les rapports et recommandations des treizième et quatorzième y compris les sessions des conférences des parties prenantes de Bali, organisées du 3 au 15 décembre 2007, puis celles tenues à Paznan du 1er au 12 décembre 2008 et la quinzième conférence des parties de Copenhague organisée du 7 au 19 décembre 2009 ont servi de base aux différentes communications.
M. Igor Tola Kogadou, a précisé que le Protocole de Kyoto prendra fin en 2012. Partant, l’humanité doit se doter d’un accord juridiquement contraignant pour provoquer la stabilisation de la température à 2 degré Celsius.
Il a souligné que l’augmentation de la température a pour conséquence la sécheresse, le manque d’eau potable, les maladies hydriques et le bouleversement du calendrier agricole qui ont pour conséquence l’insécurité alimentaire.
« Nous sommes en train de mener des activités pour que les Centrafricains aient des moyens pour pouvoir faire face aux changements climatiques », a-t-il déclaré.
Outre la sensibilisation de l’opinion, beaucoup d’activités dans le cadre de la mise en œuvre de la Convention sur le changement climatique demeurent. C’est le cas par exemple de « l’évaluation de la quantité des gaz à effet de serre au niveau de la République Centrafricaine, et l’inventaire des secteurs intéressant le changement climatique », a précisé Igor Tola Kogadou.
Enfin, l’orateur a confirmé que les cadres du Département de l’Environnement et de l’Ecologie s’emploient actuellement à « l’élaboration d’un plan d’adaptation dans le secteur agricole pour pouvoir palier à l’insécurité alimentaire due aux effets néfastes du changement climatique ».
Bien d’autres ateliers sont en gestation dans le cadre du document inhérent à la Réduction des Emissions liées à la Dégradation et à la Déforestation (REDD+).
En outre, il a permis de préparer les négociations qui se tiendront à Durban en Afrique du Sud et ailleurs.
Les rapports et recommandations des treizième et quatorzième y compris les sessions des conférences des parties prenantes de Bali, organisées du 3 au 15 décembre 2007, puis celles tenues à Paznan du 1er au 12 décembre 2008 et la quinzième conférence des parties de Copenhague organisée du 7 au 19 décembre 2009 ont servi de base aux différentes communications.
M. Igor Tola Kogadou, a précisé que le Protocole de Kyoto prendra fin en 2012. Partant, l’humanité doit se doter d’un accord juridiquement contraignant pour provoquer la stabilisation de la température à 2 degré Celsius.
Il a souligné que l’augmentation de la température a pour conséquence la sécheresse, le manque d’eau potable, les maladies hydriques et le bouleversement du calendrier agricole qui ont pour conséquence l’insécurité alimentaire.
« Nous sommes en train de mener des activités pour que les Centrafricains aient des moyens pour pouvoir faire face aux changements climatiques », a-t-il déclaré.
Outre la sensibilisation de l’opinion, beaucoup d’activités dans le cadre de la mise en œuvre de la Convention sur le changement climatique demeurent. C’est le cas par exemple de « l’évaluation de la quantité des gaz à effet de serre au niveau de la République Centrafricaine, et l’inventaire des secteurs intéressant le changement climatique », a précisé Igor Tola Kogadou.
Enfin, l’orateur a confirmé que les cadres du Département de l’Environnement et de l’Ecologie s’emploient actuellement à « l’élaboration d’un plan d’adaptation dans le secteur agricole pour pouvoir palier à l’insécurité alimentaire due aux effets néfastes du changement climatique ».
Bien d’autres ateliers sont en gestation dans le cadre du document inhérent à la Réduction des Emissions liées à la Dégradation et à la Déforestation (REDD+).