
La prévention de l’extrémisme violent et la radicalisation est un des défis majeurs à la paix, à la stabilité et au développement des pays africains. Pour soutenir les efforts des gouvernements en matière de prévention, le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) a d’abord réalisé des études pour comprendre et circonscrire ce phénomène et a ensuite développé sur base des leçons pour mettre en place un document.
Le ministre Henri Wanzet Linguissara a indiqué que La République Centrafricaine, qui se relève peu à peu de longues années de crises violentes, n’est pas à l’abri de la menace et des risques de radicalisation et d’extrémisme violent.
Il a profité de cette occasion pour saluer tous les citoyens et citoyennes qui se sont réunis pour faire aboutir ce document, fruit d’un travail inclusif, collectif et participatif, et a donné une mention spéciale au PNUD pour son appui technique et la qualité des personnes ressources mobilisées pour accompagner le processus d’élaboration de cette stratégie.
La publication de cette stratégie et sa vulgarisation au travers de son plan d’action contribuera ainsi efficacement à renforcer la prise de conscience, les connaissances et les capacités des institutions du pays et des forces vives de la nation sur ces enjeux et ainsi leur permettre d ‘intégrer cette problématique de radicalisation et d’extrémisme violent en faveur de la reconstruction nationale du relèvement et de la pacification du pays, a-t-il estimé.
Le directeur pays du PNUD, Mathieu Ciowela, s'est réjoui "du lancement de cette stratégie nationale de prévention qui, de fait, inscrit la République Centrafricaine au rang des pays engagés dans la prévention de la radicalisation et de l’extrémisme violent dans une perspective de consolidation de la paix et de la sécurité humaine tout en prônant le principe de ne laisser personne pour compte".
L'élaboration de ce document de stratégie a démarré par un forum inclusif offrant un espace de dialogue constructif, structuré et inclusif, autour de la problématique de la radicalisation et de l’extrémisme violent, entre les entités représentatives de la société centrafricaine, à savoir le gouvernement, l’Assemblée nationale, la société civile, les médias et la jeunesse.
Il est à noter que l'élaboration de cette stratégie nationale a également bénéficié de l'appui du gouvernement Japonais.
Le ministre Henri Wanzet Linguissara a indiqué que La République Centrafricaine, qui se relève peu à peu de longues années de crises violentes, n’est pas à l’abri de la menace et des risques de radicalisation et d’extrémisme violent.
Il a profité de cette occasion pour saluer tous les citoyens et citoyennes qui se sont réunis pour faire aboutir ce document, fruit d’un travail inclusif, collectif et participatif, et a donné une mention spéciale au PNUD pour son appui technique et la qualité des personnes ressources mobilisées pour accompagner le processus d’élaboration de cette stratégie.
La publication de cette stratégie et sa vulgarisation au travers de son plan d’action contribuera ainsi efficacement à renforcer la prise de conscience, les connaissances et les capacités des institutions du pays et des forces vives de la nation sur ces enjeux et ainsi leur permettre d ‘intégrer cette problématique de radicalisation et d’extrémisme violent en faveur de la reconstruction nationale du relèvement et de la pacification du pays, a-t-il estimé.
Le directeur pays du PNUD, Mathieu Ciowela, s'est réjoui "du lancement de cette stratégie nationale de prévention qui, de fait, inscrit la République Centrafricaine au rang des pays engagés dans la prévention de la radicalisation et de l’extrémisme violent dans une perspective de consolidation de la paix et de la sécurité humaine tout en prônant le principe de ne laisser personne pour compte".
L'élaboration de ce document de stratégie a démarré par un forum inclusif offrant un espace de dialogue constructif, structuré et inclusif, autour de la problématique de la radicalisation et de l’extrémisme violent, entre les entités représentatives de la société centrafricaine, à savoir le gouvernement, l’Assemblée nationale, la société civile, les médias et la jeunesse.
Il est à noter que l'élaboration de cette stratégie nationale a également bénéficié de l'appui du gouvernement Japonais.