Le décret présidentiel publié vendredi dans les médias publics indique toutefois qu'en cas d’opposition, d’appel ou de pourvoi en cassation, la présente mesure ne prendra effet que lorsque la condamnation deviendra définitive.
Contacté samedi par l'ACAP, l'un des avocats de Faustin Bambou, Me Barthélemy Morouba a remercié le chef de l'Etat "pour ce geste courageux, qui constitue, selon lui, "une paire de gifles pour le tribunal".
Il a cependant relevé que "la remise de peine ne remet pas en cause l'appel formulé par M. Bambou", qui se trouvait toujours samedi matin à la prison centrale de N'garagba, près de Bangui, où il a été écroué peu après son arrestation le 11 janvier dernier.
Rappelons qu’en date du 21 décembre 2007, le journal Les Collines de l’Oubangui a publié un article accusant MM. Sylvain Ndoutingaï et Côme Zoumara, alors ministres des Mines et des Affaires étrangères, d’avoir détourné 7 milliards F CFA remis par le groupe français Areva pour l’apurement des arriérés de salaires des fonctionnaires centrafricains.
Contacté samedi par l'ACAP, l'un des avocats de Faustin Bambou, Me Barthélemy Morouba a remercié le chef de l'Etat "pour ce geste courageux, qui constitue, selon lui, "une paire de gifles pour le tribunal".
Il a cependant relevé que "la remise de peine ne remet pas en cause l'appel formulé par M. Bambou", qui se trouvait toujours samedi matin à la prison centrale de N'garagba, près de Bangui, où il a été écroué peu après son arrestation le 11 janvier dernier.
Rappelons qu’en date du 21 décembre 2007, le journal Les Collines de l’Oubangui a publié un article accusant MM. Sylvain Ndoutingaï et Côme Zoumara, alors ministres des Mines et des Affaires étrangères, d’avoir détourné 7 milliards F CFA remis par le groupe français Areva pour l’apurement des arriérés de salaires des fonctionnaires centrafricains.