Les participants ont poursuivi des recommandations entre autres de prioriser les axes stratégiques et renforcer l’autonomie de l’indépendance des organes de contrôle dans leurs missions, de rendre opérationnels les structures et mécanismes de contrôle en place, de promouvoir le dialogue régulier et durable entre les différents acteurs de la RSS y compris la société civile et les médias.
« De vulgariser la réforme à travers la formation, la sensibilisation, les émissions et les causeries éducatives, pour rendre visible les activités menées au cours du processus et de faire appliquer strictement les textes et valoriser toutes les structures de mise en œuvre des activités », ont-t-ils ajouté.
A l’ouverture des travaux dudit atelier le 7 avril dernier, le ministre conseiller spécial, coordonnateur DDRR-RSS-RN, Jean Willybiro Sako, a indiqué que l’objectif principal de l’engagement de la République Centrafricaine dans ce processus de réforme du secteur de sécurité est de satisfaire et de répondre aux aspirations profondes de paix, de sécurité et de bonne gouvernance exprimées par les populations, telles que définies par politique nationale de sécurité (PNS).
« Pour la République Centrafricaine en sortie de crise sécuritaire, le succès du processus de réforme du secteur de sécurité est sa capacité à se projeter dans l’avenir et d’assurer la transformation et la bonne gouvernance de son appareil sécuritaire », a soutenu le ministre conseiller.
La représentante spéciale adjointe du secrétaire général des Nations Unies en Centrafrique, Lizbeth Cullity, a félicité l’initiative de la partie nationale qui va améliorer en adéquation avec la situation sécuritaire du pays, et la prochaine stratégie RSS, en vue d’une réponse durable aux différentes menaces sur l’intégrité du territoire et la vie des populations, afin de permettre le développement socio-économique de la République Centrafricaine.
Organisé par la coordination nationale de réforme du secteur de sécurité RSS avec l’appui technique et financier de la MINUSCA, cet atelier de 72 heures a permis aux 70 cadres des différents ministères sectoriels d’être édifiés sur la réforme du secteur de sécurité, de la stratégie nationale de réforme du secteur de sécurité et sur le bilan et la synthèse des résultats préliminaires.
Il convient de signaler que cet atelier du comité technique RSS sur la revue de la mise en œuvre de la stratégie nationale de RSS a été animé par une équipe de trois consultants dont une internationale.
« De vulgariser la réforme à travers la formation, la sensibilisation, les émissions et les causeries éducatives, pour rendre visible les activités menées au cours du processus et de faire appliquer strictement les textes et valoriser toutes les structures de mise en œuvre des activités », ont-t-ils ajouté.
A l’ouverture des travaux dudit atelier le 7 avril dernier, le ministre conseiller spécial, coordonnateur DDRR-RSS-RN, Jean Willybiro Sako, a indiqué que l’objectif principal de l’engagement de la République Centrafricaine dans ce processus de réforme du secteur de sécurité est de satisfaire et de répondre aux aspirations profondes de paix, de sécurité et de bonne gouvernance exprimées par les populations, telles que définies par politique nationale de sécurité (PNS).
« Pour la République Centrafricaine en sortie de crise sécuritaire, le succès du processus de réforme du secteur de sécurité est sa capacité à se projeter dans l’avenir et d’assurer la transformation et la bonne gouvernance de son appareil sécuritaire », a soutenu le ministre conseiller.
La représentante spéciale adjointe du secrétaire général des Nations Unies en Centrafrique, Lizbeth Cullity, a félicité l’initiative de la partie nationale qui va améliorer en adéquation avec la situation sécuritaire du pays, et la prochaine stratégie RSS, en vue d’une réponse durable aux différentes menaces sur l’intégrité du territoire et la vie des populations, afin de permettre le développement socio-économique de la République Centrafricaine.
Organisé par la coordination nationale de réforme du secteur de sécurité RSS avec l’appui technique et financier de la MINUSCA, cet atelier de 72 heures a permis aux 70 cadres des différents ministères sectoriels d’être édifiés sur la réforme du secteur de sécurité, de la stratégie nationale de réforme du secteur de sécurité et sur le bilan et la synthèse des résultats préliminaires.
Il convient de signaler que cet atelier du comité technique RSS sur la revue de la mise en œuvre de la stratégie nationale de RSS a été animé par une équipe de trois consultants dont une internationale.