Ils ont également recommandé aux bailleurs de fonds à continuer à soutenir l’Association centrafricaine des professionnels en étude environnementale (ACAPEE) afin d’assurer le processus de formation des journalistes sur les questions d’évaluation d’impacts environnementaux.
L’enjeu de ce séminaire est non seulement de mettre à la disposition des journalistes des informations nécessaires pour leur contribution à la sensibilisation et la mobilisation du public autour des questions relatives à l’évaluation environnementale.
Il s’agit entre autres d’édifier les participants sur le rôle de l’évaluation environnementale dans le développement durable et la prise de décision, d’expliquer les dispositions légales et reglementatires dans le développement relatif à l’évaluation environnementale et mettre en évidence l’importance de la participation du public dans le processus de l’évaluation environnementale.
Durant trois jours, les participants ont été édifiés sur les modules suivants : l’importance de l’évaluation environnementale, la procédure de l’évaluation environnementale et le rôle du public, le cadre juridique et institutionnel de la participation du public et les rôles des acteurs dans la stratégie pour une meilleure sensibilisation du public à l’évaluation environnementale.
Le ministre de l’Environnement, de l’Ecologie et du développement durable, M. Paul Docko a précisé que l’étude d’impact environnemental privilegie le partage d’information entre le promoteur du projet, l’autorité, les ONGs, les experts des bureaux d’études pour rendre public les projets que l’Etat et les promoteurs peuvent lancer dans un pays.
Le membre du gouvernement a extimé que les difficultés d’accès aux données scientifiques doivent être comblées par les débats publics pour fonder sur la délivrance du certificat de conformité environnementale. Il a ajouté que le gouvernement entend consolider la taxation environnementale à travers les rais d’EIE et les taxes sur les installations classées pour un financement autonome.
Il a exhorté les journalistes à développer leurs compétences dans les différents aspects d’études d’impacts environnementaux (EIE) notamment la lecture des rapports dans la partie consultation du public pour savoir si les experts ont soulevé tous les problèmes et les attentes de la population.
L’enjeu de ce séminaire est non seulement de mettre à la disposition des journalistes des informations nécessaires pour leur contribution à la sensibilisation et la mobilisation du public autour des questions relatives à l’évaluation environnementale.
Il s’agit entre autres d’édifier les participants sur le rôle de l’évaluation environnementale dans le développement durable et la prise de décision, d’expliquer les dispositions légales et reglementatires dans le développement relatif à l’évaluation environnementale et mettre en évidence l’importance de la participation du public dans le processus de l’évaluation environnementale.
Durant trois jours, les participants ont été édifiés sur les modules suivants : l’importance de l’évaluation environnementale, la procédure de l’évaluation environnementale et le rôle du public, le cadre juridique et institutionnel de la participation du public et les rôles des acteurs dans la stratégie pour une meilleure sensibilisation du public à l’évaluation environnementale.
Le ministre de l’Environnement, de l’Ecologie et du développement durable, M. Paul Docko a précisé que l’étude d’impact environnemental privilegie le partage d’information entre le promoteur du projet, l’autorité, les ONGs, les experts des bureaux d’études pour rendre public les projets que l’Etat et les promoteurs peuvent lancer dans un pays.
Le membre du gouvernement a extimé que les difficultés d’accès aux données scientifiques doivent être comblées par les débats publics pour fonder sur la délivrance du certificat de conformité environnementale. Il a ajouté que le gouvernement entend consolider la taxation environnementale à travers les rais d’EIE et les taxes sur les installations classées pour un financement autonome.
Il a exhorté les journalistes à développer leurs compétences dans les différents aspects d’études d’impacts environnementaux (EIE) notamment la lecture des rapports dans la partie consultation du public pour savoir si les experts ont soulevé tous les problèmes et les attentes de la population.