La ministre Virginie Mbaïkoua a indiqué que « la commémoration de la journée du 11 mai de cette année s’inscrit dans l’esprit de l’Accord politique de paix et de réconciliation du 6 février dernier, qui n’accorde pas l’amnistie mais attache l’importance à la lutte contre l’impunité ».
Elle a souligné que la célébration du 11 mai est un devoir de mémoire et place les victimes au cœur du processus de la réconciliation sans laquelle le relèvement et la reconstruction de la République centrafricaine ne seront pas effectifs.
Selon elle, la journée du 11 mai de cette année sera marquée par la volonté des victimes d’utiliser le symbole traditionnel du deuil en Centrafrique, en pavoisant les rues et les artères de la ville avec des rameaux de palmier.
Il convient de rappeler que la journée des victimes a été instituée suite à une recommandation du Forum de Bangui (du 4 au 11 mai 2015) dont les participants avaient préconisé l'adoption d'une journée en mémoire des victimes des conflits politico-militaires qui ont secoué la République centrafricaine.
Elle a souligné que la célébration du 11 mai est un devoir de mémoire et place les victimes au cœur du processus de la réconciliation sans laquelle le relèvement et la reconstruction de la République centrafricaine ne seront pas effectifs.
Selon elle, la journée du 11 mai de cette année sera marquée par la volonté des victimes d’utiliser le symbole traditionnel du deuil en Centrafrique, en pavoisant les rues et les artères de la ville avec des rameaux de palmier.
Il convient de rappeler que la journée des victimes a été instituée suite à une recommandation du Forum de Bangui (du 4 au 11 mai 2015) dont les participants avaient préconisé l'adoption d'une journée en mémoire des victimes des conflits politico-militaires qui ont secoué la République centrafricaine.