L’objectif de ce communiqué est de rendre public la liste des lauréats du Prix Aurora décerné chaque année à des personnes ayant mis leur vie en danger pour permettre à d'autres de survivre.
Le même communiqué a précisé que « celui qui, parmi les quatre finalistes, deviendra lauréat du prix Aurora, recevra une subvention de 100.000 dollars américains, tandis qu’une subvention d’un million de dollars sera remise, sous forme d’un don, à une organisation caritative qui aura inspiré son travail ».
Pour l’heure, les quatre finalistes sont : Marguerite Barankitse de la Maison Shalom et de l'Hôpital REMA au Burundi ; le docteur Tom Catena de l'Hôpital ‘Mother of Mercy’ dans les Monts Nouba du Soudan ; SyedaGhulam Fatima, secrétaire générale du ‘Bonded Labor Liberation Front’ au Pakistan et Bernard Kinvi, prêtre à la mission catholique de Bossemptélé en République Centrafricaine.
Il est à noter que le Prix Aurora a été créé par les co-fondateurs de 100 LIVES (100 VIES), une initiative mondiale pionnière visant à exprimer la reconnaissance envers ceux et celles qui ont mis leur vie en danger pour sauver des Arméniens il y a un siècle.
Au nom des survivants du génocide arménien, le Prix Aurora, décerné chaque année, a pour but de non seulement conscientiser l'opinion publique quant aux atrocités qui ont lieu de par le monde, mais aussi récompenser celles et ceux qui s’attellent à aborder ces problèmes d’une façon concrète et significative.
Si chaque finaliste a sauvé de nombreuses vies humaines, le Père Bernard Kinvi particulièrement, ordonné prêtre à l’âge de 19 ans, après avoir perdu son père et ses quatre sœurs de maladie et d’exactions, a quitté son pays natal, le Togo, pour Bossemptélé, une petite ville située en République Centrafricaine.
A Bossembélé, le Père Bernard Kinvi a pris la direction de la mission catholique au sein de laquelle se trouvent l’hôpital Jean Paul II, une école et une église.
En 2012, une crise a éclaté en République Centrafricaine, opposant les rebelles de la Séléka aux antibalaka. Devant les violences, la mission du Père Kinvi a fourni un refuge et des soins aux victimes des deux camps, permettant ainsi de sauver la vie de centaines de personnes de la mort et des persécutions.
L’épreuve finale relative à ce prix se tiendra à Erevan en Arménie, le 24 avril prochain. 2016. Le prix sera remis au finaliste par George Clooney, vice-président du Comité de Sélection. D'importants acteurs d la vie humanitaire, dont l'International Center for Journalists, l'International Rescue Committee et Not On Our Watch seront de la partie pour évoquer des problèmes humanitaires urgents auxquels le monde est confronté aujourd'hui et distinguer ceux qui y font face.
Le même communiqué a précisé que « celui qui, parmi les quatre finalistes, deviendra lauréat du prix Aurora, recevra une subvention de 100.000 dollars américains, tandis qu’une subvention d’un million de dollars sera remise, sous forme d’un don, à une organisation caritative qui aura inspiré son travail ».
Pour l’heure, les quatre finalistes sont : Marguerite Barankitse de la Maison Shalom et de l'Hôpital REMA au Burundi ; le docteur Tom Catena de l'Hôpital ‘Mother of Mercy’ dans les Monts Nouba du Soudan ; SyedaGhulam Fatima, secrétaire générale du ‘Bonded Labor Liberation Front’ au Pakistan et Bernard Kinvi, prêtre à la mission catholique de Bossemptélé en République Centrafricaine.
Il est à noter que le Prix Aurora a été créé par les co-fondateurs de 100 LIVES (100 VIES), une initiative mondiale pionnière visant à exprimer la reconnaissance envers ceux et celles qui ont mis leur vie en danger pour sauver des Arméniens il y a un siècle.
Au nom des survivants du génocide arménien, le Prix Aurora, décerné chaque année, a pour but de non seulement conscientiser l'opinion publique quant aux atrocités qui ont lieu de par le monde, mais aussi récompenser celles et ceux qui s’attellent à aborder ces problèmes d’une façon concrète et significative.
Si chaque finaliste a sauvé de nombreuses vies humaines, le Père Bernard Kinvi particulièrement, ordonné prêtre à l’âge de 19 ans, après avoir perdu son père et ses quatre sœurs de maladie et d’exactions, a quitté son pays natal, le Togo, pour Bossemptélé, une petite ville située en République Centrafricaine.
A Bossembélé, le Père Bernard Kinvi a pris la direction de la mission catholique au sein de laquelle se trouvent l’hôpital Jean Paul II, une école et une église.
En 2012, une crise a éclaté en République Centrafricaine, opposant les rebelles de la Séléka aux antibalaka. Devant les violences, la mission du Père Kinvi a fourni un refuge et des soins aux victimes des deux camps, permettant ainsi de sauver la vie de centaines de personnes de la mort et des persécutions.
L’épreuve finale relative à ce prix se tiendra à Erevan en Arménie, le 24 avril prochain. 2016. Le prix sera remis au finaliste par George Clooney, vice-président du Comité de Sélection. D'importants acteurs d la vie humanitaire, dont l'International Center for Journalists, l'International Rescue Committee et Not On Our Watch seront de la partie pour évoquer des problèmes humanitaires urgents auxquels le monde est confronté aujourd'hui et distinguer ceux qui y font face.