Dans la présentation faite par M. Toby Lanzer, il ressort que le Rapport mondial sur le développement humain 2007-2008 comporte plusieurs messages principaux dont la prise de conscience des changements climatiques, la considération des conséquences du changement climatique sur le développement humain ainsi que la lutte contre l’apartheid de l’adaptation.
Le Rapport dégage clairement la responsabilité des pays industrialisés dans le changement climatique et la souffrance des pays pauvres qui subissent davantage les conséquences, et demande aux pays riche d’aider les populations pauvres dans leurs efforts d’adaptation.
Le premier ministre, M. Faustin Archange Touadéra, a pour sa part déclaré que le choix de la question de changement climatique par les Nations Unies permet de prendre conscience des enjeux de la question et d’avoir une bonne visibilité des actions de lutte contre le changement climatique.
Pour lui, la lutte contre le changement climatique est un « impératif de développement » et nécessite « une alliance mondiale, une coopération internationale et une combinaison d’efforts des pays riches et des pays pauvres ».
Il convient de préciser que le changement climatique se manifeste par la perturbation du climat par la faute de l’homme. Il se caractérise par l’augmentation de la température, les fortes précipitations qui engendrent des inondations, la sécheresse, entre autres.
En matière de développement humain, ce phénomène a un impact assez important sur l’agriculture ainsi que sur toutes les actions de lutte contre la pauvreté, surtout que la relance du secteur agro-pastoral figure dans les priorités du Document de stratégie de réduction de la pauvreté (Dsrp) de la RCA.
C’est dans ce cadre que la République Centrafricaine a mis en place son code de l’Environnement et a récemment ratifié le Protocole de Kyoto relatif à la protection de l’environnement.
Le Rapport dégage clairement la responsabilité des pays industrialisés dans le changement climatique et la souffrance des pays pauvres qui subissent davantage les conséquences, et demande aux pays riche d’aider les populations pauvres dans leurs efforts d’adaptation.
Le premier ministre, M. Faustin Archange Touadéra, a pour sa part déclaré que le choix de la question de changement climatique par les Nations Unies permet de prendre conscience des enjeux de la question et d’avoir une bonne visibilité des actions de lutte contre le changement climatique.
Pour lui, la lutte contre le changement climatique est un « impératif de développement » et nécessite « une alliance mondiale, une coopération internationale et une combinaison d’efforts des pays riches et des pays pauvres ».
Il convient de préciser que le changement climatique se manifeste par la perturbation du climat par la faute de l’homme. Il se caractérise par l’augmentation de la température, les fortes précipitations qui engendrent des inondations, la sécheresse, entre autres.
En matière de développement humain, ce phénomène a un impact assez important sur l’agriculture ainsi que sur toutes les actions de lutte contre la pauvreté, surtout que la relance du secteur agro-pastoral figure dans les priorités du Document de stratégie de réduction de la pauvreté (Dsrp) de la RCA.
C’est dans ce cadre que la République Centrafricaine a mis en place son code de l’Environnement et a récemment ratifié le Protocole de Kyoto relatif à la protection de l’environnement.