POLITIQUE
Organisé par le Réseau Ouest et Centre Africain de Recherche en Education (ROCARE), cet atelier de présentation des résultats de recherche vise à décrire les travaux domestiques afin de voir leur impact négatif sur la scolarisation des jeunes filles du 3ème arrondissement de Bangui.
Le chercheur principal, Innocent Goumapé dans sa présentation a dit «qu’en Centrafrique les filles sont beaucoup sollicitées dans le domaine des travaux domestiques, à savoir : les travaux ménagers et commerciaux, ce qui constitue une entrave à leur scolarité et joue sur leur performance par rapport aux garçons ».
De son coté le secrétaire général de l’université de Bangui, Noël Ngoulo a déclaré que « ces résultats prouvent à quel point nous sommes capables d’engager des débats scientifiques et d’apporter nos réflexions sur des questions de développement des politique éducationnelles et de la recherche ».
Il a fait remarquer que « notre revue des politiques du système éducatif nous soumet à une urgence avec laquelle nous devrons sensibiliser nos partenaires, coordonner nos efforts de lutte contre les obstacles qui minent le système et de renforcer les capacités des chercheurs dans ce domaine afin de pouvoir lancer des études d’impact sur l’enseignement et la recherche ».
Le Coordonnateur du Réseau Ouest et Centre Africain de Recherche en Education, M. Apollinaire Molaye a quant à lui exhorté les acteurs et les partenaires du système éducatif national à s’impliquer davantage dans la recherche des solutions pour l’épanouissement dudit secteur.
Il convient de noter que depuis son implantation en Centrafrique, en février 2007, les jeunes chercheurs centrafricains en éducation ont présenté des sujets de recherche qui ont reçu l’agrément de la coordination régionale, notamment : en 2008 le projet de recherche « l’incivisme en milieu scolaire », en 2009, « les enjeux de l’entreprenariat féminin à Bangui » et en 2010 une étude faite sur le thème « Analyse de l’impact des travaux domestiques sur la scolarité des filles du 3ème arrondissement de ville de Bangui ».
A titre de rappel, le ROCARE a été créé en 1989 et regroupe dix huit (18) pays africains, quatre (4) pays anglophones et quatorze (14) pays francophones dont la République Centrafricaine. Le siège social se trouve à Bamako au Mali et il a pour mission la promotion de l’expertise africaine, afin d’influencer les pratiques et les politiques éducatives en Afrique.
Le chercheur principal, Innocent Goumapé dans sa présentation a dit «qu’en Centrafrique les filles sont beaucoup sollicitées dans le domaine des travaux domestiques, à savoir : les travaux ménagers et commerciaux, ce qui constitue une entrave à leur scolarité et joue sur leur performance par rapport aux garçons ».
De son coté le secrétaire général de l’université de Bangui, Noël Ngoulo a déclaré que « ces résultats prouvent à quel point nous sommes capables d’engager des débats scientifiques et d’apporter nos réflexions sur des questions de développement des politique éducationnelles et de la recherche ».
Il a fait remarquer que « notre revue des politiques du système éducatif nous soumet à une urgence avec laquelle nous devrons sensibiliser nos partenaires, coordonner nos efforts de lutte contre les obstacles qui minent le système et de renforcer les capacités des chercheurs dans ce domaine afin de pouvoir lancer des études d’impact sur l’enseignement et la recherche ».
Le Coordonnateur du Réseau Ouest et Centre Africain de Recherche en Education, M. Apollinaire Molaye a quant à lui exhorté les acteurs et les partenaires du système éducatif national à s’impliquer davantage dans la recherche des solutions pour l’épanouissement dudit secteur.
Il convient de noter que depuis son implantation en Centrafrique, en février 2007, les jeunes chercheurs centrafricains en éducation ont présenté des sujets de recherche qui ont reçu l’agrément de la coordination régionale, notamment : en 2008 le projet de recherche « l’incivisme en milieu scolaire », en 2009, « les enjeux de l’entreprenariat féminin à Bangui » et en 2010 une étude faite sur le thème « Analyse de l’impact des travaux domestiques sur la scolarité des filles du 3ème arrondissement de ville de Bangui ».
A titre de rappel, le ROCARE a été créé en 1989 et regroupe dix huit (18) pays africains, quatre (4) pays anglophones et quatorze (14) pays francophones dont la République Centrafricaine. Le siège social se trouve à Bamako au Mali et il a pour mission la promotion de l’expertise africaine, afin d’influencer les pratiques et les politiques éducatives en Afrique.
