Cette cérémonie s'est déroulée dans les somptueux salons de Boffrand du Sénat français en présence notamment de l'ambassadeur du Royaume à Paris, M.Fathallah Sijilmassi, d'intellectuels, d'hommes de lettres et de médias ainsi que plusieurs amis du Maroc.
Placé sous le Haut Patronage de SM le Roi Mohammed VI et initié par la Fondation "Esprit de Fès", ce Festival s'intègre dans une mission universelle de paix et de rapprochement entre les peuples et demeure le rendez-vous incontournable du dialogue des cultures et des religions en terre d'Islam.
S'exprimant à cette occasion, M. Sijilmassi a souligné que cette édition se situe dans un contexte très particulier dans la mesure où elle coïncide avec la célébration du 1200-ème anniversaire de la création de la ville de Fès, notant que cet événement marquant conforte la place du Maroc en tant que pays d'ouverture, de tolérance et de modernité.
Ce festival apporte désormais une valeur ajoutée à cette ouverture et permet de créer une passerelle humaine entre le passé et l'avenir, a-t-il ajouté.
Créé tel un arbre dont le tronc principal est la musique, le Festival s'est essaimé et touche désormais concerts, rencontres, expositions, projection de films et autres activités pédagogiques, relève, pour sa part, Mme Nadia Benjelloun.
Pour ce qui est des Rencontres de Fès, Mme Benjelloun a signalé d'emblée que l'interprétation du sacré sera leur fil d'Ariane, étant entendu que les conférences s'articuleront autour de "La représentation du sacré", "La musique et le sacré", "Le sacré, les moeurs et la Loi", "Le sacré et l'inconscient" et "La transmission du sacré".
Ces rencontres réuniront plus de 50 intervenants dont des philosophes, musicologues, historiens, psychanalystes, sociologues et politologues, a-t-elle précisé.
S'ouvrant sur la diva planétaire du chant lyrique Jessye Norman et se clôturant avec la grande voix africaine d'Ismaël Lô, la 14-ème édition du Festival de Fès se veut une transition vers un futur plus ouvert sur le présent, a affirmé, de son côté, M. Kurdjian en présentant la programmation musicale de cette grande manifestation.
Le programme comporte, entre autres, des spectacles qui brillent par leur caractère novateur, tels l'ensemble "Al-Kindi", les "Munshid" de la mosquée des Omeyyades de Damas et le choeur Byzantin Tropos d'Athènes, des chants soufis de Tunisie avec Fadhel Jazizi, la légendaire danseuse de flamenco Belen Maya et l'ensemble "Panti Pusaka Budaya" de Bali (Indonésie), a-t-il ajouté.
Seront également de la fête, le grand chanteur indien Madhup Mudgal, l'icône du chant marocain Abdelwahab Doukkali et la diva arabe Majda Al-Roumi, a fait remarquer M. Kurdjian.
L'assistance a, par la suite, été conviée à suivre la présentation de l'ensemble vietnamien "Huong Thanh", programmé aussi à Fès, qui a émerveillé le public par une musique traditionnelle, d'intimité et de méditation ainsi que par des chants portés par l'amour de la nature, le respect pour le Cosmos, rejoignant le sacré au spirituel.
Clôturant cette cérémonie, M. Kabbaj a souligné que Fès, qu'il s'agisse de la musique ou de la parole, se veut, dans un monde largement caractérisé par de multiples convulsions, un lieu de tolérance, d'ouverture à l'autre et de coexistence pacifique.
Fidèle à sa tradition et toujours en quête d'enrichissement, le Festival s'applique à le pérenniser, a-t-il dit, faisant observer que l'esprit de spiritualité et de plénitude plane désormais sur la Capitale spirituelle et culturelle du Royaume.
Placé sous le Haut Patronage de SM le Roi Mohammed VI et initié par la Fondation "Esprit de Fès", ce Festival s'intègre dans une mission universelle de paix et de rapprochement entre les peuples et demeure le rendez-vous incontournable du dialogue des cultures et des religions en terre d'Islam.
S'exprimant à cette occasion, M. Sijilmassi a souligné que cette édition se situe dans un contexte très particulier dans la mesure où elle coïncide avec la célébration du 1200-ème anniversaire de la création de la ville de Fès, notant que cet événement marquant conforte la place du Maroc en tant que pays d'ouverture, de tolérance et de modernité.
Ce festival apporte désormais une valeur ajoutée à cette ouverture et permet de créer une passerelle humaine entre le passé et l'avenir, a-t-il ajouté.
Créé tel un arbre dont le tronc principal est la musique, le Festival s'est essaimé et touche désormais concerts, rencontres, expositions, projection de films et autres activités pédagogiques, relève, pour sa part, Mme Nadia Benjelloun.
Pour ce qui est des Rencontres de Fès, Mme Benjelloun a signalé d'emblée que l'interprétation du sacré sera leur fil d'Ariane, étant entendu que les conférences s'articuleront autour de "La représentation du sacré", "La musique et le sacré", "Le sacré, les moeurs et la Loi", "Le sacré et l'inconscient" et "La transmission du sacré".
Ces rencontres réuniront plus de 50 intervenants dont des philosophes, musicologues, historiens, psychanalystes, sociologues et politologues, a-t-elle précisé.
S'ouvrant sur la diva planétaire du chant lyrique Jessye Norman et se clôturant avec la grande voix africaine d'Ismaël Lô, la 14-ème édition du Festival de Fès se veut une transition vers un futur plus ouvert sur le présent, a affirmé, de son côté, M. Kurdjian en présentant la programmation musicale de cette grande manifestation.
Le programme comporte, entre autres, des spectacles qui brillent par leur caractère novateur, tels l'ensemble "Al-Kindi", les "Munshid" de la mosquée des Omeyyades de Damas et le choeur Byzantin Tropos d'Athènes, des chants soufis de Tunisie avec Fadhel Jazizi, la légendaire danseuse de flamenco Belen Maya et l'ensemble "Panti Pusaka Budaya" de Bali (Indonésie), a-t-il ajouté.
Seront également de la fête, le grand chanteur indien Madhup Mudgal, l'icône du chant marocain Abdelwahab Doukkali et la diva arabe Majda Al-Roumi, a fait remarquer M. Kurdjian.
L'assistance a, par la suite, été conviée à suivre la présentation de l'ensemble vietnamien "Huong Thanh", programmé aussi à Fès, qui a émerveillé le public par une musique traditionnelle, d'intimité et de méditation ainsi que par des chants portés par l'amour de la nature, le respect pour le Cosmos, rejoignant le sacré au spirituel.
Clôturant cette cérémonie, M. Kabbaj a souligné que Fès, qu'il s'agisse de la musique ou de la parole, se veut, dans un monde largement caractérisé par de multiples convulsions, un lieu de tolérance, d'ouverture à l'autre et de coexistence pacifique.
Fidèle à sa tradition et toujours en quête d'enrichissement, le Festival s'applique à le pérenniser, a-t-il dit, faisant observer que l'esprit de spiritualité et de plénitude plane désormais sur la Capitale spirituelle et culturelle du Royaume.