Le Lcl B. BANGADEKOY suivant la distribution des sujets d'examen par un éléments de la MINUSCA le 06 sept 2020
Le but de cette épreuve consiste à évaluer l’aptitude intellectuelle de ces candidats autour des disciplines comme la culture générale, histoire, géographie, mathématiques et français.
Le lieutenant-colonel Salomon Pouna, chef du bureau ressources humaines à l’Etat-Major des Armées a indiqué que 60 candidats seront retenus à la fin du processus, afin de suivre la formation des sous-officiers au Centre de formation de Bouar.
« Ce processus s’inscrit dans le cadre du recrutement couplé 2019- 2020, prévoyant un total de 2.600 places. Vu le nombre de places à pourvoir, seuls les plus méritants seront retenus et la chance est donnée à tout le monde », a souligné le lieutenant-colonel Pouna.
Eléonore Merline Yassango -Kohosso une des candidates s’est dit optimiste de réussir à ce concours car les épreuves lui ont été favorables.
« J'ai toujours rêvé de servir mon pays dans l’uniforme. Les épreuves ont été abordables même si certains sujets sont difficiles, mais je suis convaincu d’être admis », a fait savoir Pamphile Mbocka, un autre candidat, étudiant en deuxième année de science politique et juridique au sortie de la salle.
Signalons que ces candidats ont déjà passé les épreuves physiques il y’a de cela deux semaines et ledit processus fait partie intégrante du recrutement global des soldats, sous-officiers et officiers conformément à loi de programmation militaire.
Le lieutenant-colonel Salomon Pouna, chef du bureau ressources humaines à l’Etat-Major des Armées a indiqué que 60 candidats seront retenus à la fin du processus, afin de suivre la formation des sous-officiers au Centre de formation de Bouar.
« Ce processus s’inscrit dans le cadre du recrutement couplé 2019- 2020, prévoyant un total de 2.600 places. Vu le nombre de places à pourvoir, seuls les plus méritants seront retenus et la chance est donnée à tout le monde », a souligné le lieutenant-colonel Pouna.
Eléonore Merline Yassango -Kohosso une des candidates s’est dit optimiste de réussir à ce concours car les épreuves lui ont été favorables.
« J'ai toujours rêvé de servir mon pays dans l’uniforme. Les épreuves ont été abordables même si certains sujets sont difficiles, mais je suis convaincu d’être admis », a fait savoir Pamphile Mbocka, un autre candidat, étudiant en deuxième année de science politique et juridique au sortie de la salle.
Signalons que ces candidats ont déjà passé les épreuves physiques il y’a de cela deux semaines et ledit processus fait partie intégrante du recrutement global des soldats, sous-officiers et officiers conformément à loi de programmation militaire.