
L’objectif de cette rencontre avec les médias, est de faire le point sur la situation des réfugiés centrafricains dans les pays voisins pendant les dernières crises qui ont secoué le pays.
Le Haut-commissaire des Nations-Unies pour les réfugiés, Fillipo Grandi a indiqué « qu’en République Centrafricaine, une personne sur 4, est déclarée déplacée ou réfugiée et est le taux très élevée au monde, cela est le résultat des crises qu’a connu le pays pendant plusieurs années ».
Selon lui, le rôle de son organisation est d’aider les pays d’accueil de plus de 600.000 réfugiés centrafricains entre autres, le Cameroun, les deux Congo, le Tchad, à travailler ensemble pour assurer les conditions de vie améliorées de ces déplacés.
Il a réitéré que le Président Faustin-Archange Touadéra, a déclaré que tous les déplacés et réfugiés centrafricains qui veulent regagner leur pays seront accueilli à bras ouverts, donc il faut travailler de plus en plus pour que ce retour soit effectif, car cela fait partie des engagements du gouvernement dans l’accord politique pour la paix et la réconciliation signé le 06 février dernier.
Il faut rappeler que la République Centrafricaine malgré les difficultés rencontrées n’a pas fermé ses portes aux réfugiés étrangers, notamment ceux du congo, de la RDC, et du soudan du Sud.
Le Haut-commissaire des Nations-Unies pour les réfugiés, Fillipo Grandi a indiqué « qu’en République Centrafricaine, une personne sur 4, est déclarée déplacée ou réfugiée et est le taux très élevée au monde, cela est le résultat des crises qu’a connu le pays pendant plusieurs années ».
Selon lui, le rôle de son organisation est d’aider les pays d’accueil de plus de 600.000 réfugiés centrafricains entre autres, le Cameroun, les deux Congo, le Tchad, à travailler ensemble pour assurer les conditions de vie améliorées de ces déplacés.
Il a réitéré que le Président Faustin-Archange Touadéra, a déclaré que tous les déplacés et réfugiés centrafricains qui veulent regagner leur pays seront accueilli à bras ouverts, donc il faut travailler de plus en plus pour que ce retour soit effectif, car cela fait partie des engagements du gouvernement dans l’accord politique pour la paix et la réconciliation signé le 06 février dernier.
Il faut rappeler que la République Centrafricaine malgré les difficultés rencontrées n’a pas fermé ses portes aux réfugiés étrangers, notamment ceux du congo, de la RDC, et du soudan du Sud.